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D) Suite 4



« (Dans les médias mainstream) Nous nous inscrivons dans une logique spectaculaire en vertu de laquelle tout ce qui n’est pas montré n’existe pas. Et comme à l’heure actuelle, de nombreuses alternatives aux médias traditionnels apportent la visibilité nécessaire à certains groupes dissidents, nos gouvernants ont, à cet effet, mis en œuvre des stratégies adaptées pour détruire ces derniers. Il s’agit ici de décrédibiliser les individus qui les composent afin de les stigmatiser. Certaines techniques d’ingénierie sociale aboutissent à une horizontalisation du conflit. C'est à dire que les victimes de la narration officielle deviennent alors oppresseurs et la gouvernance n’a plus qu’à observer. Ce qui a pour effet d’entraver les mécanismes de construction des groupes, et de contribuer à communautariser les mouvements dissidents pour mieux les stigmatiser. Dans ce sens tyrannique, la gouvernance peut également produire et soutenir ses propres communautés contrôlées qui sèmeront le chaos et la terreur de façon spectaculaire afin d’être amalgamées avec les réels contestataires, ôtant à ces derniers la possibilité de se constituer en corps social. Les mouvements antifas d’extrême gauche entrent dans cette catégorie. Nous empêcher de nous fédérer pour nous exprimer est l’un des objectifs principaux d’une gouvernance non démocratique. Par ailleurs, le travail de sape qui consiste à isoler les individus ne date pas d’hier, car pour faire disparaître un groupe, il faut effacer la personnalité de l’individu. Dans un monde de plus en plus porté sur la virtualisation, la prééminence du « moi » et la quête d’admiration, il devient de plus en plus facile de briser les effets de la dynamique de groupe. Enfin, l’augmentation souhaitée et contrôlée de la précarité sociale, économique et intellectuelle constitue le terreau propice à une société individualiste, rendue docile à souhait par sa propre incapacité à s’inscrire dans une action collective. À l’avenir, si nous demeurons illusionnés, nous accepterons l’inacceptable sans même en avoir conscience, c’est orwellien. Ainsi le « tout sécuritaire », le « tout sanitaire » ou le « tout environnemental » sont les outils utiles de la gouvernance à la construction d’un régime totalitaire de contrôle permanent sous couvert de bienveillance. Ce détournement machiavélique de la bienveillance relève évidemment la stratégie du pompier pyromane. » (Passage de l'article de François Dubois (vice-président de l'Association Professionnelle Gendarmerie, un « ancien gradé » qui a « quitté l'institution » suite à des « divergences avec sa hiérarchie, notamment sur la politique vaccinale ») « Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale » à l'adresse https://lemediaen442.fr/francois-dubois-macron-est-anime-par-un-ideal-messianique-en-lien-avec-la-gouvernance-mondiale/)
« Jean-Dominique Michel critique également la personnalité d’Emmanuel Macron, qu’il décrit comme un individu extrêmement toxique et dangereux. (Il y a plusieurs formes de folie, d’ailleurs, même les psychiatres s’y perdent. On parlera donc plutôt d’incohérence structurelle, de délire de domination et de dérapage d’ego, tout cela pouvant former une personnalité politique qui génère des décisions contraires ou néfastes aux gens et jusqu'aux intérêts du pays. S'il n'est pas sataniste, Macron est atteint de cette forme de pathologie mentale, qui se transmet au pays à travers institutions et médias.) Il affirme que le président français réunit en lui un ensemble de caractéristiques psychopathologiques particulièrement inquiétantes, et se demande pourquoi il y a si peu d’immunité collective face à ce type de profil. Il s’interroge également sur la capacité de la population et des corps constitués à laisser un individu aussi dangereux accéder au pouvoir et y rester. Il appelle à une prise de conscience collective pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à l’avenir. Selon lui, une civilisation saine doit contenir suffisamment d’équilibre entre les pouvoirs et les contrepouvoirs, ainsi qu’une lucidité quant à certains profils, pour empêcher que des individus dangereux ne puissent nuire à la société. » (Média en 4-4-2)

D'autre part à la différence du journaliste Carlson qui s'est professionnellement entretenu avec le Président russe Poutine sans expliquer ensuite aux téléspectateurs ce qu’il faut comprendre, la plupart des journalistes mainstream disent ensuite aux téléspectateurs ce qu’ils doivent comprendre derrière ce qu’ils ont entendu, et donc comment ils doivent s’aligner...
Par ailleurs les grands médias du système cherche souvent à faire croire que 80 % du peuple pense d'une certaine manière pour orienter l'opinion publique, dont en créant de faux sondages, en établissant des débats abêtissant qui opposent des virulentes personnes fermées à la contradiction ou à la recherche de compréhension même historique, et en invitant d'agressifs hommes limités intellectuellement pour ridiculiser et donc discréditer son camp, surtout quand c'est face à une élégante et intelligente (voire simplette) femme par essence faible (ou face un homme s'exprimant correctement). C'est à dire que dans une forme de disproportion, le système arrive à convaincre les gens par leurs propres intuitions, d'autant plus que pour canaliser l'opinion les services utilisent souvent donc des polémistes. D'ailleurs la surmédiatisation de certains faits divers à des fins de manipulations (dont les agressions provenant de l'immigration ou de l'extrême droite pour diviser la société française) y participe aussi beaucoup.
Par occultation ou pseudo prétexte inversant la nécessité de défense, ces médias et politiciens vont jusqu'à honteusement faire commencer la guerre en Ukraine à cause de la Russie et non à cause des 8 ans de bombardements ukrainien sur le Donbass que Zelensky prévoyait ensuite d’écrabouiller militairement, ni de l'extension à outrance de l'OTAN, celle à Gaza à cause du 7 octobre et non à cause des agressions israéliennes répétées, des territoires occupés, de la politique de colonisation et de la politique ethnique, et celle avec l'Iran à cause de son attaque contre le territoire israélien n'ayant pas causé de morts et non à cause de la destruction du consulat iranien par Israël en Syrie ayant causé de nombreux morts. Ils vont même jusqu'à qualifier de pro-russe, tout gouvernement défendant sa souveraineté nationale, dont celui de Trump.
Des sujets comme le patriotisme authentique sont donc aussi écartés ou peu élevés. Le patriotisme en France est persécuté, parce qu’il constitue une résistance à l’entreprise de démoralisation mondialiste. En Russie, le patriotisme est au pouvoir, et ça change tout. Si la Russie est en guerre aujourd’hui, c'est parce que le patriotisme ne rime pas avec agressivité, mais avec défense : défense de son territoire historique, bien sûr, mais aussi de ses valeurs, les valeurs chrétiennes que l’Europe a oubliées.
Certaines attaques journalistiques occidentales contre des politiciens ou autres personnalités occidentaux peuvent par ailleurs être considérées comme la volonté de déstabiliser le pouvoir et donc la nation dans un but d'augmenter la tyrannie suite à des manifestations, mais c'est aussi donc possiblement une menace pour l’ordre social, le vivre-ensemble, la sécurité.
De plus, des tactiques journalistiques empêchant le réveil des gens tendent vers un effet de distraction par la diffusion de nouvelles non pertinentes, ou idiotes (rapports concernant la famille royale britannique, ragots, etc), ou annonciatrices de peur et de malaise (racisme généralisé, résurgences imaginaires du fascisme, homophobies diverses, persécution des migrants, etc), car cela permet aussi la dissimulation de bonnes informations ou critiques contre le système. Un des nombreux travers de la presse mainstream, c’est aussi de minimiser les événements importants affaiblissant le système, et de maximiser les événements futiles voire affaiblir les mouvements populaires dont par des rumeurs. C’est le temps qui finit par renverser ces perspectives populaires, mais la progressive prise de conscience populaire se fait de plus en plus rapidement, en particulier chez les jeunes ne se servant pas des réseaux sociaux et d'internet seulement comme de la distraction. Sinon certaines analyses populaires correctes peuvent même sans aucun scrupule être censurées ou considérées comme des fake news. Surtout que via ces médias dominants honteusement soumis, le système ose en plus promotionner la loi sur les fake news apportant de la méfiance du peuple envers toute nouvelle idée et donc pensée, d'autant plus que même s'il est juste de prévenir les gens des mauvaises influences, il faut d'abord se méfier de ceux qui disent de nous méfier, en particulier quand ils se victimisent alors qu'ils sont loin d'être irréprochables mais plutôt la source principale de mensonge. Ainsi pour comprendre toute cette perversion journalistique du système, il est intéressant de lire à ce sujet la charte de Munich de 1971 concernant normalement le journalisme intègre à l'adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich
La fake news est même devenue le moyen de décrédibiliser toute information qui viendrait contredire la version médiatique, surtout car la répétition d’un mensonge, ce clou enfoncé dans la tête du public, devient une semi-vérité. En effet après la crise des subprimes, les critiques des journalistes mainstream ont été si fortes contre le système que les oligarchies ont décidé de racheter tous les grands médias. Les médias mainstream ne font donc plus de l’information impartiale mais bien de la propagande partiale du système corrompu, surtout que ce sont principalement eux qui se servent de fake news.
« Les individus dotés d’une mémoire encore vivace se rappelleront assurément des innombrables platitudes antirusses débitées sur les plateaux de télévision, ces autels de la sottise où défilaient des prétendus experts militaires métamorphosés en oracles de la propagande ukrainienne :
- Les Russes utilisent des casques de 1960, parce qu’ils n’arrivent pas à en produire de nouveaux.
- Ils utilisent des puces de machines à laver pour leurs missiles.
- Leurs chars sont des versions modernisés d’un modèle de 1937.
- La qualité des armes russes est un mythe.
Cependant, ces génies de l’opinion préfabriquée échouaient lamentablement à expliquer pour quelles raisons obscures, compte tenu de l’intrinsèque faiblesse et du niveau élevé d’arriération attribué aux Russes, nous devrions éprouver de la crainte à leur égard. l’Ukraine, une nation environ quinze fois moins peuplée que les États-Unis, a vu périr en moins de deux années de conflit environ cinq fois plus de soldats que les États-Unis en seize années de combat au Vietnam. Et cela, malgré – ou peut-être à cause de – l’armement et la formation « made in OTAN ». On ose à peine imaginer les contours de ce conflit si la Russie n’était pas perçue comme « arriérée » par certains. » (Fernand le Béréen)

Mais aujourd'hui la propagande c'est surtout l'art de détourner l'attention bien plus que de mentir, comme par rapport à la prédation oligarchique, aux massacres israéliens à Gaza et à l'OTAN belliqueux. Pour sa propre propagande, le système inventent, instrumentalise ou exagèrent aussi l'actualité. Ainsi les mensongères promesses de campagne présidentielle se généralisent logiquement depuis des décennies, surtout qu'il a été démontré que le spectateur de la société du spectacle actuelle a une mémoire de plus en plus courte.
Mais aujourd'hui la propagande c'est surtout l'art de détourner l'attention bien plus que de menti0, comme par rapport à la prédation oligarchique, aux massacres israéliens à Gaza et à l'OTAN belliqueux. Or les mensongères promesses de campagne présidentielle se généralisent logiquement depuis des décennies, surtout qu'il a été démontré que le spectateur de la société du spectacle actuelle a une mémoire de plus en plus courte.
Jacques Baud, colonel de l'Etat major, ancien membre des renseignements suisses et spécialiste du renseignement et du terrorisme définit l'expression « Fake news » :
« Il s'agit de toutes les informations qui sont partielles, quelquefois biaisées, quelquefois des rumeurs, qui sont devenues des informations sur lesquelles on se base pour juger les activités ou la situation internationale. On a fait avec de vraies rumeurs de fausses nouvelles, et cela biaise notre perception du monde. Bien souvent ce sont des Etats qui cherchent à expliquer ou excuser leur action internationale en masquant une partie de la vérité, occultant une partie de la réalité, afin de diffuser uniquement la partie qu'ils veulent bien communiquer. »
En effet quels sont les faits qui permettent d'affirmer que l'Etat islamique cherche à créer une guerre civile en France ; (que le président syrien Bachar al-Assad a utilisé des armes chimiques ; que Saddam Hussein avait des armes de destructions massives ; que Mouammar Kadhafi tuait son peuple avec des engins militaires ; que les attentats du world trade center ont été organisé par Oussama ben laden) ; que Vladimir Poutine tente de déstabiliser nos démocraties ; que le terrorisme a frappé la France, non pas pour ce qu'elle fait, mais pour ce qu'elle est ; que le génocide au Darfour a fait 400 000 victimes ? Littéralement aucun, mais ces affirmations suffisent à asseoir la politique étrangère des pays occidentaux.
Cela va jusqu'à faire disparaître les responsabilités et récrire la vérité originelle : par exemple l’attaque des « terroristes du Hamas » et celle russe ne venaient évidemment pas de nulle part. C'est à dire que le contexte, l’histoire, la géopolitique, on les occulte : seule l’émotion de l’instant compte.
Dans son ouvrage « Gouverner par les fake news », Jacques Baud évoque dans ce sens les principaux conflits contemporains, que les pays occidentaux ont orchestré et géré à coups de fake news ces trente dernières années. Pour obtenir encore plus de discernement dans ce contexte de fake news, il est intéressant de voir également l'excellente vidéo « Pfizer, une entreprise qui vous veut du bien [IDRISS ABERKANE] » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=M8W-9_40m98&list=LL7jmiI69wnrMf8TSUGfh1aQ
Depuis plus 10 ans, le journalisme français a faux sur tous les tableaux, ce qui révèle son agonie, sa soumission et sa propagande : crise des subprimes, guerre en Syrie, attentats de 2015, Gilets jaunes, covid, vaccin ARN, Russie, et enfin Palestine. Il mérite un zéro pointé. Il a baladé ses téléspectateurs, ses auditeurs et ses lecteurs qui ne comprennent plus rien au monde et à la France. Il désoriente, omet, truque, condamne, accélérant sa déchéance. Plus il s’affaiblit, dont aussi économiquement parlant, plus il ment dont donc à cause de sa soumission aux puissances d'argent et aux subventions de l’État.
Surtout que le système sait que l'expérience Milgram a prouvé que la grande majorité des gens obéissent aveuglément à ce qu'ils considèrent comme une autorité, ce que les médias mainstream deviennent faussement de plus en plus pour eux. Le mensonge est devenu si institutionnel que la République s’est séparée en deux mondes : ceux qui gouvernent et mentent, ceux qui obéissent et subissent le mensonge. Certes, le mensonge a toujours fait partie de la politique. Mais le temps aidant et la démocratie déclinant, le mensonge politique est devenu une industrie, une organisation à part entière, et un mode de gouvernement structuré par des officines qui ne laissent plus aucune place à l’amateurisme et remplacent la vérité par une « narration » et un programme.
De plus le concept d’info de gauche est aussi grotesque que celui de l’info de droite, c’est comme si on nous demandait de choisir un pied sur les deux : ça n’aide pas à marcher. L’info n’est évidemment ni de gauche ni de droite, et ne parlons même pas de la vie : elle est au-dessus et au-delà de ces concepts foireux.
« À une époque où l'information est abondante mais souvent manipulée, où les médias semblent dicter la réalité, un concept émerge, celui du "Médiavers", développé par le philosophe Alexis Haupt. Dans cette ère de l'hyper-connectivité où tout un chacun peut accéder à une pléthore d'informations en quelques clics, se pose une question cruciale : qu'est-ce qui empêche les individus de se libérer du Médiavers ?
Au cœur du Médiavers réside un manque fondamental : celui de la volonté de savoir. Les médias, contrôlés par des intérêts particuliers, déforment la réalité et manipulent les masses. Dans cet univers parallèle, les véritables enjeux sont occultés, reléguant des sujets essentiels au second plan. Dans le Médiavers, les déclarations sensationnalistes de certaines organisations, telles que l’OMS, sont amplifiées, détournant l’attention du véritable enjeu. Par exemple, une alarmante augmentation des cas de cancer va être attribuée à des causes superficielles telles que la pollution, l’alcool et la cigarette, alors que des facteurs plus profonds et systémiques sont négligés.
Mais le Médiavers va au-delà de la simple manipulation de l’information. Il façonne la perception de la réalité chez les individus, créant une dichotomie entre ce qui est présenté par les médias et ce qui est vécu dans le monde réel. Les personnes piégées dans le Médiavers nient les réalités évidentes sous leurs yeux, préférant croire ce qui leur est présenté par les médias. La psychologie des individus en proie au Médiavers est intrigante. Leur perception de la réalité est déformée, et ils peuvent nier les faits les plus flagrants pour adhérer à un récit prédéfini. Même lorsque des preuves tangibles contredisent les récits médiatiques, ils choisissent de les ignorer, préférant vivre dans une illusion confortable. Il est crucial de reconnaître les dangers du Médiavers. En concentrant l’attention sur des problèmes superficiels ou en déformant la réalité, il détourne l’attention des véritables enjeux. Par exemple, les préoccupations concernant des figures politiques éloignées peuvent occulter les menaces plus proches et plus pressantes qui affectent les individus au quotidien.
Dans le Médiavers, on fait semblant d'apprendre que Biden n'a plus toute sa tête. Dans le monde réel, on sait tous qu'il ne dirige rien depuis le début. Conclusion : tant que la masse vivra dans le Médiavers, elle sera condamnée à ne rien comprendre à ce qu'il se passe.
Sortir du Médiavers est essentiel pour embrasser la vérité et reconnaître les véritables défis auxquels nous sommes confrontés. Cela nécessite un esprit critique, une volonté de remettre en question les récits prédominants et une recherche active de la vérité. En cette ère où la désinformation prolifère, la capacité à discerner la vérité du mensonge est plus précieuse que jamais. Le Médiavers représente donc un défi majeur pour la société contemporaine. En nous piégeant dans une illusion médiatique, il entrave notre capacité à percevoir la réalité telle qu’elle est. Se libérer du Médiavers est donc une première étape cruciale vers la prise de conscience et l’action, car seule une compréhension authentique de la réalité peut nous permettre de relever les défis auxquels nous sommes confrontés. » (Le Média en 4-4-2)
Jérome le Filiatre du journal libération reconnaît que les médias ont majoritairement renoncé à être un contre-pouvoir critique de tous les ordres établis. En effet ce quatrième pouvoir est devenu le premier synonyme de sournois parti oligarchique tyrannique, alors que devant normalement encadrer les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, surtout qu'un cinquième pouvoir apparaissant avec les GAFAM censure de plus en plus politiquement ses utilisateurs. C'est à dire que les médias dominants financés désormais par divers grands capitalistes libéraux-libertaires dont devenus un pouvoir n'informant plus, mais formant la mentalité des populations vers ce système néfastement progressiste et ploutocratique. Lorsque des journaux déficitaires sont rachetés, même par des oligarques dissidents au système, ce n'est pas pour gagner de l'argent mais de l'influence, dont en pouvant faire des enquêtes devenant des articles rabaissant des ennemis. En effet les médias dominants appartenant aux ultra riches, ils peuvent même faire accélérer voire dicter des enquêtes à la police envers quiconque ne suit pas le pouvoir profond. Le pire, c’est le contrôle de la presse et des réseaux sociaux par le pouvoir politique. Les patrons de radio et de journaux sont remplacés par des macronistes, qui doivent faire la relation « parfaite » du réel selon les intérêts du pouvoir. C’est une atteinte grave à la liberté de la presse et à la démocratie.
En mettant uniquement la souffrance en avant, les médias érigent même un mur émotionnel pour le vrai travail d’investigation, mais cela ne nous empêche pas de douter, de réfléchir, de travailler. C'est pourquoi la presse actuelle se vautre dans le sang, dans l’exhibition, dans les larmes, avec un sadisme confondant. Partager la souffrance annuellement pendant des décennies des victimes ne sert à rien pour ceux qui ont survécu, ainsi que pour les témoins et les proches : l’empathie ne leur enlèvera pas un gramme de douleur, car la douleur nous ramène à notre peau, à notre individualité, à notre solitude devant la mort, alors que les morts, eux, ne souffrent plus. Les médias qui collaborent avec le Système disposent donc de plusieurs instruments pour ne pas dire ou ne pas chercher la vérité : la diversion, la minimisation, l’indifférence, l’oubli, le mensonge par omission, le mensonge direct, et le poignantisme. Et pour éviter une grande prise de conscience populaire en Occident sur certains sujets comme la guerre au Yémen, il sont très rarement évoqués dans les médias dominants. Car comme le dit l'expression : « loin des yeux, loin du cœur ».
Il est également fréquent de constater que tous les journaux télévisés relatent les mêmes nouvelles, avec des analyses souvent identiques, et en utilisant souvent les mêmes images, car cela tend par une perversité manichéenne à déterminer un horizon à l’intérieur duquel il faut prendre parti au risque de devenir un bouc émissaire. En effet ceux qui ne se conforment pas sont utilisés pour assurer l’équilibre du système : ils sont un ennemi de l’humanité, un haineux insatiable, une cible à maintenir en vie et à frapper souvent pour maintenir ou orienter l'opinion publique soumise.
Le Système dispose donc de deux armes principales, la propagande et la censure, qui vont ensemble, et qui croissent ensemble, car le rejet naturel de la propagande désinformationnelle du Système doit être contré par encore plus de censure. On se retrouve alors avec un schéma schizophrénique, à la fois pour les tenants des émissions mainstream, et pour le grand public. Le citoyen est obligé de choisir entre une irrationalité martelée du matin au soir sur tous les canaux dépendant du Système, et une rationalité dont sur internet censurée, dénoncée, criminalisée. Pour sauver son intelligence ou son âme, le citoyen doit donc devenir un hors-la-loi, surtout que c’est la Bêtise qui interrompt et insulte l’Intelligence. Il s'agit d'un suicide moral qui conduit inévitablement à un suicide économique, qui d’ailleurs est déjà en cours, mais contre lequel luttent de nombreux sites de réinformation.
Or en plus de la propagande et de la censure très honteuses, le système a même mis en place le fact-checking. En effet les médias mainstream ont inventé les journalistes fact-checkeurs (pseudo vérificateurs des faits mais propagandistes et moralisateurs officiels). Mais de plus en plus de gens ne croient plus en ces fact-checkeurs, ni aux sondages, ni aux mensonges du gouvernement. Ils ne se contentent plus de s’enrouler dans le confort de la pensée unique, dans la norme paralysante et dans le soutien du pouvoir en place, par pitié, par conviction, par peur, par insouciance ou par doute. Et ils ont raison car il ne faut surtout pas craindre les donneurs de leçons du système alors qu'ils sont soumis à l'impie finance internationaliste, sioniste, esclavagiste, wokiste, oligarchique et ploutocratique.
Selon Jean-Yves Le Gallou, la société occidentale peut être facilement qualifiée de « société de propagande » (dont par les fake news donc). Il développe cette pensée et son expertise en rappelant qu’une société où la propagande est massive constitue le premier déterminant du contrôle du comportement social, surtout qu'amenant souvent à l'endoctrinement. Et sur cette base, l’auteur examine le goulag mental imposé aux Européens et propose d’y résister, en prônant un plan audacieux en trois parties concrètes : dissidence, rébellion et sécession.
Surtout que pour couper oppressément certains débats importants, le bon complotisme est même souvent perversement associé à de l'antisémitisme par le biais honteux que le négationnisme de la Shoah est un complotisme.
Une autre technique journalistique du système corrompu est d’émouvoir les gens pour distraire leur attention et leur masquer certaines choses. C'est à dire qu'ils jugent ce qu’ils voient sans suffisamment de profondeur critique. De la sorte, on parvient sans leur mentir à leur faire croire à des illusions.
Le système, le pouvoir et les médias dominants en arrivent même à établir la limite du débat avant une campagne électorale majeure, sinon c'est la marginalisation, ou l'accusation de communisme, de fascisme, de malhonnêteté, de folie ou désormais de conspiration. Alors que le fascisme dans sa définition élémentaire est la fusion entre les grandes entreprises et l’État comme dans le monde occidental actuel clairement.
Un organe gouvernemental de contre-propagande prétendument envers les complotistes (dont ceux concernant le covid ou la guerre en Ukraine) devenant clairement de la propagande tyrannique est de plus apparu, surtout qu'utilisant souvent la menace voire pire.
Cette contre-propagande se fait aussi souvent à travers de faux comptes créés sur les GAFAM et généralement gérés par des algorithmes. Tout cela est d'autant plus facilité aux chaînes d'informations vu l'amère nullité fréquente des autres programmes télés non payants.
Concernant des sujets chauds bouillants comme le sionisme ou des vérités sur le couple présidentiel, personne ou presque et encore moins les journalistes n’y va pleinement, même pas les humoristes, car il est difficile de s’affranchir du Conseil de l’Ordre des humoristes, un groupe occulte dirigé dans l’ombre par des oligarques, des avocats et des médiateurs. Les oligarques établissent la liste des humoristes à surveiller, les médiateurs dénoncent leurs « dérapages » selon le règlement qui leur a été distribué, et les avocats anéantissent toute vie économique et médiatique des dissidents. C'est à dire que ces procès publics servent d’exemple pour faire régner la terreur dans le métier. Et elle règne ! Et les humoristes d'un média sont aussi un bon thermomètre de la tendance d’un journal, d’une station radio ou d’une télé au niveau du socialo-sionisme atlantiste et mondialiste ou du national sionisme atlantiste et mondialiste. Sur les plateaux TV, on voit d'ailleurs de plus en plus souvent sans voix dissidentes, des invités étant exclusivement soumis à la pensée unique et mentant même parfois à plusieurs pour orienter le peuple plus facilement vers les intérêts oligarchiques, c'est à dire par cet obscurcissement de l’esprit critique des téléspectateurs.
Désormais tout journaliste ne faisant pas de propagande d’État est également combattu férocement par l’appareil répressif. Cette répression est similairement protéiforme car se caractérisant dans sa forme douce par la diabolisation (comme lors de la plandémie d’innombrables journalistes indépendants et médias alternatifs ont été étiquetés « complotistes ») et dans sa forme brutale par un harcèlement d'organismes subventionnés, de campagnes de calomnies et d'associations victimaires, dont à travers des procès à répétition visant la ruine ou tout bonnement des agressions physiques envers des dissidents. Un journaliste honnête ne peut donc connaître que la déchéance professionnelle, économique et donc sociale face aux apôtres de la fausse liberté d’expression et de la vérité institutionnelle. Dans ce sens les éditeurs filtrent aussi la dissidence afin par exemple de ne pas évoquer Israël ou les néoconservateur.
C'est pourquoi ce système de l'antéchrist basé sur une technique de censure inavouée et de manipulation très développée au cours de l'histoire jusqu'à tous ces aspect mais aussi à l'hypnose comme il sera revu, il est la plus difficile épreuve qu'aura connu l'humanité : :
D’après Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Hâtez-vous de faire des bonnes actions avant d’en être empêchés par l’une de ces sept choses que vous devez attendre : Une pauvreté qui vous fait oublier. Une richesse qui vous pousse à une arrogance outrancière. Une maladie ruinant votre santé. Une vieillesse affaiblissant votre esprit. Une mort mettant fin à vos jours. L’arrivée du faux Messie et c’est le pire de ce que vous cache l’avenir. Ou l’Heure (de la fin du monde) et l’Heure est plus mortelle et plus amère encore. »
Ainsi il y a la censure traditionnelle, reconnaissable par tous, c'est à dire quand certaines personnes ne sont pas invitées dont sur des plateaux TV, et celle journalistique qui invite mais qui est oppressive dont donc en embrouillant le discours, en s’indignant de propos tenus ou en évitant certains sujets. Alors que la télé-réalité donne souvent la parole à des stupides, des incultes ou/et des pervers. Dans ce sens, des africains ont dit plutôt humoristiquement que comme les occidentaux ne connaissent pas la faim et ont beaucoup d'argent, ils sont devenus trop (déraisonnablement) créatifs dont aussi au niveau des programmes TV inintéressants, de l'art grotesque, de vacances épuisantes ou sans enrichissement personnel, de dangereuses actions sportives extrêmes, de l'orientation vers le LGBT, et particulièrement du festival Burning Man aux USA, etc, tout en oubliant le caritatif.
Avec toutes les techniques qui viennent d'être vues, le journaliste n’est alors plus journaliste, il est l’envoyé en plateau d’un projet de destruction d’une parole alternative par le système tyranniquement totalitaire. En effet force est de constater que ces méthodes ne relèvent pas de l’erreur journalistique et vont bien au-delà de la simple mauvaise foi. C’est bien d’une manipulation systématique qu’il s’agit. D'ailleurs le régime de Kiev et les médias occidentaux sont parvenus à instaurer un véritable totalitarisme médiatique.
Par conséquent le journaleux est honteusement un militant politique donc partial car les grands médias sont devenues des organisations politiques au service du pouvoir.
Pourtant avant, le journaliste était le preux chevalier et la sentinelle impartiale
du peuple qui bravait le pouvoir pour défendre la veuve, l’orphelin, l'oppressé, l’innocent... Ceci est une des nombreuses preuves que la dévouée noblesse chevaleresque (liée à celle de la magistrature monothéiste) a été remplacée honteusement par la cupide bourgeoisie (qui dans ce contexte fut une forme de fin du tribalisme comme le prouve les mondialistes juifs alliés aux mondialistes non juifs), puisque la noblesse est incontestablement ce qui est supérieur moralement et que la cupidité n'en fait pas partie.
Or on voit de plus en plus qu’entre le champ politique mainstream et la dissidence avancée, il y a des opinions évolutives, qui sont en train de glisser d’un champ à l’autre, même sur la guerre en Ukraine, le covid ou l'impie tyrannie mondialiste, bancaire, sioniste, oligarchique, wokiste et transhumaniste.
Alors que très étonnamment la France n'est même pas en guerre pour conditionner l’opinion contre l'Ukraine, selon l'article « Guerre de l’information et formatage de l’opinion à l’occasion de la guerre en Ukraine » à l'adresse https://strategika.fr/2022/08/22/guerre-de-linformation-et-formatage-de-lopinion-a-loccasion-de-la-guerre-en-ukraine/ , nous sommes mêmes presque arrivés au stade ultime de la propagande médiatique totalitaire, puisqu'il est parvenu à imposer leur seule version américano-sioniste de la guerre en Ukraine, faire porter l’entière responsabilité de ce conflit à Moscou et neutraliser tout point de vue divergent :
« Invention d’une histoire, construction d’une menace ; émotion, passionner le débat pour empêcher toute analyse rationnelle ; Diabolisation, Poutine = Hitler ; Culpabilisation et menace des peuple envers les peuples occidentaux qu'ils sont les suivants si ils n'aident pas financièrement et militairement l'Ukraine ; matraquage médiatique, saturation informationnelle ayant pour double objectif d’empêcher toute réflexion critique et d’imposer un point de vue par la répétition et les images « chocs » ; partialité ; dissimulation des causes véritables du conflit, des événements historiques y ayant conduit, des responsabilités de l’ensemble des acteurs impliqués ; inversion des réalités, les groupes ultranationalistes ukrainiens sont des « gentils nazis » ; inventions et mensonges délibérés ; affirmations non étayées ; grossissement des faits, mettre l’accent sur des faits isolés, peu représentatifs ; présentation orientée des événements ; inversion des accusations, dont concernant des crimes de guerre ; dissimulation de faits favorables à la Russie ; dissimulation de faits défavorables à Kiev ; négation, rejet systématique et sans argument de la version des faits adverses ou des commentaires neutres, rejet de la réalité de certains faits pourtant avérés ; interdiction, impossibilité d’accéder aux chaînes d’information et aux sites internet russes ; ciblage des commentateurs indépendants qui contestent la version des faits construite par l’Ukraine ou qui mettent en lumière ses contradictions, disqualification en les traitant de pro-russes, de conspirationnistes et en les désignant à l’opprobre populaire ; polarisation de l’opinion, implication de l’opinion occidentale dans un conflit qui ne la concerne pas directement, volonté d’en faire un allié et d’un acteur pour peser davantage sur les gouvernements ; diversion, concentrer l’attention du public sur la guerre d’Ukraine permet également à l'oligarchie de faire passer des lois néolibérales anti-sociales dont au détriment des peuples. »
Alors que sur TF1 le 29 mai 2022, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a rappelé le devoir de protéger la Russie et les civils du Donbass :
« Nous demandons que le régime de Kiev cesse de tuer des civils dans le Donbass comme il le fait depuis huit longues années, depuis le coup d’État en Ukraine en 2014. Mais il faut aussi dénazifier l’Ukraine, parce que les idées et les actes néo-nazis font maintenant partie de la vie en Ukraine. (Or en déclarant officiellement comme buts de guerre en Ukraine la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine, on pourrait traduire cela d’un mot de la part de la Russie : désaméricanisation.) Pendant des années, nous avons essayé de persuader l’Occident que l’Ukraine ne devait pas être entraînée dans l’Otan. Or l’Otan s’était déjà rapprochée à cinq reprises de la frontière russe, contrairement à toutes les promesses faites lorsque l’Union soviétique a disparu L’hypocrisie de l’Occident s’est parfaitement illustrée par les réactions aux décisions prises par les États-Unis et l’Otan dans des situations telles que la Yougoslavie en 1999, l’Irak en 2003 et la Libye, en 2011. Toutes ces aventures militaires ont été lancées par les États-Unis sous prétexte que ces foyers de tension représentaient une menace pour eux. Et cette menace était à plus de dix mille kilomètres des côtes américaines. Pourtant, tout le monde a suivi Washington, pour détruire d’abord la Yougoslavie, puis l’Irak, puis la Libye. Plus d’un million de civils sont morts dans ces conflits et personne n’a rien dit. Tout le monde a trouvé ça normal. Parce que le souverain du monde, les États-Unis, commandent à tous les autres pays occidentaux. En Europe, à l’exception de la guerre en Irak où la France et l’Allemagne se sont opposées aux actions injustifiées et totalement inacceptables de Washington, dans tous les autres cas, tous les pays européens ont rapidement convenu que les États-Unis avaient le droit de déclarer une menace pour leur sécurité, n’importe où dans le monde, et de faire ce qu’ils voulaient. La Russie n’a pas déclaré une menace pour sa sécurité du jour au lendemain. Elle a, pendant de nombreuses années, exhorté l’Occident à ne pas faire de l’Ukraine un pays antirusse. En d’autres termes, la menace qui pèse directement sur nos frontières, et contre laquelle nous mettons en garde depuis de nombreuses années, a été complètement ignorée. C’est pourquoi notre opération militaire était inévitable. »
Cette propagande d'Etat ou d'Etat profond (lobbies) a même été jusqu'à faire devenir inexistant des débats TV ou radio entre professeurs aux analyses divergentes comme concernant les vaccins ARN, surtout que certains de ces derniers contiendraient perversement des modifications génétiques de l'être humain voire des cellules humaines provenant de fœtus avortés et il faut donc les refuser absolument d'autant plus le temps que leur évaluation qui doit normalement durer dix ans se termine. Alors que concernant tout sujet politique, il faut faudrait urgemment arrêter les débats stériles et adopter une approche intégrante, c'est à dire en s'ouvrant aux arguments de l’autre.
On peut noter ici que le premier amendement états-unien stipule pourtant que votre discours peut seulement être limité si vous causez du tort à autrui, et que les cardiologues disant que les vaccins ont multiplié par 100 les myocardites chez les jeunes sont donc encore plus légitimes à parler publiquement puisqu'ils empêchent le tort à autrui. Actuellement, il semble qu’il n’y ait qu’un seul jeu en ville, celui joué par les maîtres du Covid et donc Big pharma (la plupart des médicaments sont créés par une poignée de multinationales : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments), les géants du numérique, le FMI, le tout orchestré par la fondation Rockefeller. Or Poutine n'a pas voulu se battre contre cette force extraordinaire, car il a justement pensé que la Russie pouvaient se débrouiller dans le cadre des règles qu’ils avaient fixées, ou jusqu'à que ça se tasse ou le temps que les masques tombent. Car Poutine est un dirigeant cherchant à protéger son peuple le plus honorablement possible même lors de son suivi partiel de l'OMS mondialiste pendant le Codiv ou lors de sa décision de déclencher l'intervention militaire spéciale en Ukraine. Surtout que ce n’est que sous l’état d’urgence que l’on détermine qui détient la véritable souveraineté. Le souverain qui déclare l’état d’urgence et qui prend des décisions dans ses conditions, en s’appuyant non pas tant sur la loi que sur la volonté et l’esprit. Le sujet ne naît que dans l’état d’urgence. Dans les autres cas, il s’agit d’un sujet conditionnel (soit un sujet, soit un objet), et seul l’état d’urgence met tout à sa place. D'ailleurs il est admirable que Poutine ait réussi à rendre sa fierté et sa liberté à une grande nation qui a connu le communisme dure et l'effondrement économique ensuite. A ce sujet il est intéressant de voir à travers de l'humour et de l'émotion, l'excellent portrait de Vladimir Poutine à l'adresse https://youtu.be/anDPH40utkA
Ainsi l’occident devrait s’occuper de ses propres problèmes, en commençant par les géants du numérique. Ce ne sera pas facile comme nous l’apprend l’affaire dans laquelle le juge Hinkle a statué que Facebook et Microsoft devaient jouir de leur droit « divin » privé de bloquer les politiciens qu’ils n’aiment pas, mais une loi du Texas est en train de lutter contre cela. En effet les dissidents au système mondialiste actuel sont privés de toutes les voies de communication grand public : télévision et principaux réseaux sociaux, même le président Trump. Certains dissidents sont même désormais emprisonnés pour avoir dénoncé des groupes internationaux (en particulier la mafia juive) participant à des activités délictueuses : trafic d’êtres humains, d’organes, d’armes, de drogue, de blanchiment d’argent ; escroqueries en tous genres ; assassinats commandités ; rackets ; prostitution,etc. Ainsi même si ce sont des membres du système judiciaire, ceux qui s’en prennent à eux sont complices de ces criminels. Il s'agit d'un appareil d’état au service du crime organisée, puisqu'il emprisonne ceux qui dénoncent les criminels et laisse donc en liberté ces criminels. Et c'est donc incontestablement un état mafieux dirigé par des criminels. Cette répression contre ces nobles opposants au système provient du fait qu’ils désignent clairement et ouvertement les ennemis lobbyistes et mafieux s'enrichissant avec la corruption massive et menaçant ainsi l’avenir existentiel de pays dont la France.
Cependant il n'existe pas de régime ou de forme politique qui soit susceptible d’accorder à ses opposants une liberté sans limite. Autrement dit, un opposant réel doit prendre sa liberté politique à ses risques et périls, car c'est uniquement dans ce sens que la liberté est toujours absolue. Mais l'opposant, le dissident, doit supporter la répression. En bref, quel que soit le régime, la liberté laissée par ce dernier est toujours limitée, et lorsque la limite est franchie, celle de l’opposant commence. Or la violence dans l’extrémisme politique ou identitaire est souvent de la lâcheté politique face au pouvoir tyrannique, car il faut avant tout avoir du courage social pacifique malgré des persécutions. Dans ce sens, l'identitaire français doit légitimement être universaliste par rapport à celui anglo-saxon qui est communautaire, en particulier puisqu'il est catholique et droit de l'hommiste, et que l'identitaire ethno-racial conduit à la balkanisation en faveur de l'empire américano-sioniste, comme l'a montré le président Yougoslave Milosevic à travers sa grande Serbie divisante qui y a beaucoup participé au contraire de l'impérialiste unifiant du précédent président yougoslave Tito. C'est à dire que quelles que soient les épreuves, il faut avoir de la virilité politique en devenant constamment un dissident authentique principalement par la dénonciation fréquente du pouvoir profond pervers et la promotion fréquente de l'association entre la droite des valeurs (patriote, catholique, monothéiste) et la gauche du travail (socialiste et nationaliste). En effet pour que le peuple français triomphe, il faut que la droites des valeurs (classe moyenne, manif pour tous) doit s'unir avec avec la gauche du travail (prolétariat, gilets jaunes en particulier ceux du canal historique christique qui voulaient simplement vivre dignement de leur travail, de leur salaire) contre la droite libérale unie à la gauche libertaire. Or il y a une importante rééducation à faire de la classe moyenne, car elle a été flattée par l'hyper classe pendant des décennies afin de l'appauvrir aujourd'hui.
Ensuite pour renforcer le combat pour la vérité et le bien commun, l'étape suivante après la dissidence est de créer une résistance organisée autour d'une économie forte et d'une nécessaire hiérarchie intelligente, telle une armée avec son avant garde, son arrière garde et ses flans, composée par les diverses catégories sociales. Or à notre époque, la Résistance c’est avant tout dénoncer le vrai coupable, attaquer l’ennemi à sa racine et donc voir la réalité principale du Mal : le néolibéralisme guerrier basé sur la cupidité et donc sur l'intense amour inconséquent de l'argent menant au pouvoir, ce qui est aussi la principale face cachée du sionisme internationaliste.
Ainsi pour bassement contrer ces opposants dénonciateurs de l'ingérence sioniste, les avocats d'association de défense juive font généralement le récit d’événements de la Seconde Guerre mondiale puis invoquent sournoisement le pseudo risque de prochains malheurs comme le pseudo retour du nazisme. Pourtant ce sont des plaidoiries que l’on retrouve comme argument décisif dans les motifs des décisions de justice. Et une propagande massive du système via sa presse, sa radio, ses chaînes d'information et ses sites internet se fait le relais des mêmes propos. Les magistrats sont des gens comme les autres. Si les noms de Dieudonné, Soral ou Ryssen suscitent l’effroi dans le grand public, après de tels récits, pourquoi les magistrats réagiraient-ils différemment ?
En effet bon nombre de personnes sont parfaitement indifférentes au sort d’autrui et au contexte profond, en ne se préoccupant que de leur confort personnel. C'est à dire que les gens travaillent de moins en moins pour construire ensemble et de plus en plus uniquement pour favoriser leurs intérêts personnels. Quant à ceux qui pourraient avoir un soupçon d’intelligence ou simplement de réflexion, ils reculent devant l'oppression, les mensonges et les manipulations du système.
L’arnaque de la télé dite française, démocratique, libre et tolérante se voit encore à travers ses débats sur le voile islamique sans les intéressées, alors que la France a des problèmes beaucoup plus importants dus au pouvoir profond corrompu comme 2800 milliards d’euros de dettes, 6 millions de chômeurs, 9000 suicides par an, 48000 morts dus à la pollution de l’air, 165000 enfants victimes de viols et de violences sexuelles par an. Le sujet du voile traité dans les médias mainstream correspond plutôt à un grossier moyen de détourner le peuple des sujets essentiels comme les problèmes économiques, comme les sujets concernant les meurtres, les suicides et le terrorisme ne représentant que 3 % des morts en France représentent 70 % du temps d'antenne dans les chaînes d'informations, alors que d'autres sujets concernent beaucoup plus de morts anormales. D'ailleurs ces sujets sont désormais presque interdits d'être évoqués par preuve que généralement dans les chaînes d'informations très peu de sujets d'actualité sont traités quotidiennement, et sont souvent similaires sur plusieurs mois sans intervenants réellement dissidents, telle une propagande évidente du système corrompu.
(Dans une de ses vidéos Momotchi a dévoilé, de manière incisive, comment nos moteurs de recherche, notamment Google, semblent aussi restreindre l’accès à l’information. À travers une démonstration minutieuse, elle montre comment une simple recherche sur des sujets comme le changement climatique ou le vaccin contre le COVID-19 renvoie systématiquement vers les mêmes sources officielles, limitant ainsi la diversité des points de vue. Cette manipulation subtile de l’information peut avoir des conséquences profondes sur notre perception du monde. En restreignant notre accès à une pluralité de perspectives, les moteurs de recherche nous enferment dans une bulle d’information, nous donnant l’illusion d’un choix alors que la réalité est bien différente. L’impact de cette réduction de l’espace informationnel est alarmant. Non seulement elle limite notre capacité à accéder à une diversité d’opinions, mais elle pose également des questions fondamentales sur la nature même de la démocratie et de la liberté d’expression à l’ère numérique, dont car tendant vers le totalitarisme, qui pourrait être celui des mondialistes oligarchiques wokistes et sionistes. Momotchi nous met ainsi en garde contre cette évolution inquiétante d’Internet, appelant chacun à remettre en question la fiabilité de nos sources d’information, dont en recoupant de nombreuses sources d'information traitant différemment des sujets.)
Et quand des débats semblant contradictoires sont organisés à la TV mainstream, c'est désormais généralement en réalité de l’opposition contrôlée. Il faut noter que l'accusation de d'opposition contrôlée peut aussi être de l'opposition contrôlée pour diviser le camp adverse. Alors il faut juger l'arbre à ses fruits et changer de nom d'un groupe dissident ou résistant quand il est trop infiltré ou trop décrédibilisé. En effet pour combattre la dissidence, les américano-sionistes mondialistes préfèrent désormais l'infiltrée plutôt que l'affronter frontalement. Il s'agit d’infiltrer la dissidence pour diminuer son influence ou détourner des dissidents dont en les influençant vers l'anti-islam, l'anti-arabe ou l'anti-immigration via des invitations à la TV et non vers l'anti-atlantisme, l'anti-OTAN, l'anti-UE et l'anti-euro pour restaurer un état fort à l'intérieur des frontières. Ainsi il paraît important que des dissidents inconnus infiltrent aussi tout groupe du système pour obtenir des informations. Même chose quand il s’agit de sujets concernant d'authentiques souverainistes, patriotes ou gilets jaunes, ces émissions de soi-disant débats n'invitent pas ces derniers en prouvant qu'elles ne sont que des procès en l’absence des accusés. Même chose quand il s’agit de sujets concernant d'authentiques souverainistes, patriotes ou gilets jaunes, ces émissions de soi-disant débats n'invitent pas ces derniers en prouvant qu'elles ne sont souvent que des procès en l’absence des accusés. En effet beaucoup de dissidents ne sont pas invités ni évoqués dans les médias dominants et subventionnés. L'opposition contrôlée se fait aussi via de fausses organisations dissidentes pu des crises organisées par le système. Or l'opposition contrôlée devant se rapprocher de plus en plus de la dissidence, ou réalisant des pervers objectifs annoncés par la dissidence comme l'annexion entière de la Palestine par Israël, favorise finalement cette dissidence, et finit par ne pouvoir que se moquer d'elle ou la rabaisser trop indignement, ce qui sert aussi à retourner le peuple contre le système en particulier donc avec la pression du réel.
Suite à ces gilets jaunes synonyme de nouvelle lutte pour le peuple, la justice sociale, le patriotisme et la spiritualité, il n'est donc pas étonnant que le covid soit réapparu du clivage entre l'extrême droite et l'extrême après l'extrême centriste Macron, ou plutôt le pion de l'extrême violence de la Banque qui s’enrichit au détriment des Français et qui laisse le pays exsangue. En effet Macron correspond à l'union de la droite financière et de la gauche sociétale, ce qui prouve que la droite financière qui est en réalité totalement de gauche sociétale. Ainsi par rapport au noble centrisme de Poutine alliant droite des valeurs et gauche du travail, ce pervers extrême centre est libéral, libertaire et anti-social et va jusqu'à se servir la droite perversement identitaire pour garder le pouvoir face à la droite patriote, car la droite identitaire est rejetée majoritairement par le peuple.
« Biden (comme Macron) est tout sauf de gauche. Il incarne le centre pervers (alliant droite financière internationaliste et gauche sociétale lgbtiste : pas de différence de sexe, de religion (cf. Bergoglio), de nation, de race, de variété mais un bon gros monde sous commande milliardaire et techno-US. Il faut gouverner au centre et il faut diaboliser le reste, le rejeter dans les limbes. Qui a dit qu’il fallait vomir les tièdes ? Et pourquoi ? Pensez-y… Voilà où nous en sommes avec ces centristes. Ils sont le centre de la terre. Voyez des centristes comme Bourlanges, Bayrou, et Schwab de Davos, plus bourgeois moliéresque et technophile que jamais, le modèle de Paul Nizan : il est le centre du monde, le reste doit crever : les humains contribuent par leur respiration au réchauffement climatique ; on en est là... Alors que c'est ce centrisme de « nonagénaire génocidaire » comme je l’ai appelé (Soros, Rothschild, Gates, Bergoglio, Fink, Warren Buffett, etc.) qui devrait être le seul dans une situation critique vu leurs âges... Toute son économie, toute sa politique et tout son style de vie aboutissent généralement à isoler le riche et à être indifférent du bas peuple participant pourtant à faire vivre son système. » (Nicolas Bonnal)
En résumé le véritable extrême centre correspond au juste milieu dans l’équité porté par le monothéisme authentique au niveau de la droite des valeurs universalistes christiques et de l’économie nationale prioritaire mais ouverte, associée à la gauche du travail, du social et de la tolérance religieuse, et donc pas au faux extrême centre de Macron basé sur la droite de la finance internationaliste et la gauche sociétale... Poutine gouverne d'ailleurs clairement comme ça. Il est intéressant de lire à ce sujet l'excellent article « Propagande et post-vérité » à cette adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Propagande-et-Post-verite-56925.html
Dans ce sens Laurent Ozon dénonce le glissement d’une partie de la nébuleuse identitaire dans le camp otano-occidental et donc étrangement vers les néoconservateurs américano-wahhabo-sionistes ou vers les oligarques mondialistes wokistes. Ce qui n'est pas étonnant car la conséquence logique de ce sournois courant de pensée identitaire, c’est de s’aligner sur Israël et son sionisme laïque. Ces identitaires ne cherchent pas à défendre une quelconque tradition ou nation (christiques), mais simplement à promouvoir une sorte de racisme hystérique. D'ailleurs le néoconservatisme est principalement financé par des ultra riches mondialistes unipolaristes états-uniens, anglo-saxons, français et israéliens.
Particulièrement depuis 2022, en plein marasme, écroulement économique, menace climatique, tyrannie sanitaire, pertes d’emplois, perte de liberté, misère, vaccins dangereux devenus oppressifs y compris pour les enfants, et guerre européenne, un faux nationaliste comme Zemmour lié à l'américano-sionisme et au mondialisme tel le Zelensky français dont par ses sponsors financiers vient parler d’immigration. Combien a-t-il été payé pour détourner l’attention des vrais problèmes ? En plus il cache que l’immigration est souhaitée et favorisée par son ami Jacques Attali qui déclare que l’Europe a un « besoin vital de 150 millions de nouveaux immigrés ». Étrangement, il ne désigne que la conséquence de l'immigration massive et pas la source mondialiste et sioniste qui favorise le Grand Remplacement (plutôt grand métissage) qu'il dénonce, dont par preuve qu'il se tient à grande distance des thèmes monétaires, bancaires, économiques, sociaux et sanitaire. En fait, le changement population facilite le plan de dilution étatique et nationale de la France par les mondialistes. Dans ce sens les faux nationalistes et les vrais mondialistes se partagent ainsi le travail pour alimenter la haine raciale et religieuse afin de préserver le pouvoir du centre perverti et mondialiste que représente Macron. En effet chacun joue son rôle pour entretenir une guerre civile larvée dans notre pays afin de faire de la France un nouveau Liban oppressé financièrement, en détournant l'attention vers les éternels boucs émissaires que sont les musulmans. D'ailleurs Nasrallah a dit dans ce sens : « Le prix de la capitulation au Liban signifiait l’hégémonie politique et économique d’Israël sur notre pays. » L’objectif est de faire combattre le peuple avec le plus d’hostilité possible sur des questions qui dérangent le moins possible nos dirigeants. Or même s'ils y parviennent souvent grâce à diverses oppositions, ils se trompent en pensant que les Français vont être dupes longtemps de cette machination abjecte, d'autant plus que Zemmour ce pseudo nationaliste est pro union européenne et pro euro et donc mondialiste, alors que le mondialisme dilue la France souverainement et économiquement et qu'aucun patriote ne peut vouloir d’une guerre civile en France puisque chaque camp s'affaiblirait au profit des mondialistes oligarchiques et sionistes.

Dans une forme d'agenda servant à la division pour le pouvoir de certains, les médias dominants dénoncent aussi souvent des sujets très particuliers comme les effets islamiques de l'immigration de masse plutôt que les origines sionistes et mondialistes de cette immigration à travers des gens comme Georges Soros et Jacques Attali (conseiller des présidents français depuis 30 ans) l'organisant. Ils oublient également souvent de rappeler les faux prétextes et décisions politiques qui ont mené ces dernières années les Etats-unis à des guerres contre les pays musulmans dues au lobby Israélien américain. Surtout que comme pour de nombreux pays, cela sert en plus à créer des ennemis extérieurs pour mieux dominer l'intérieur, particulièrement en période de crise. Par conséquent cela prouve que ces médias dominants cherchent bien à préserver le pervers pouvoir profond du système en place dont également en évitant de montrer les causes aussi mondialistes de l'affaiblissement de la France à travers le système bancaire de dettes, la finance internationaliste et donc l'immigration de masse qui favorisent aussi les très riches. De plus ce plan est facilité à travers l'achat de la paix sociale par la caisse d'allocation familiale et à travers l'opposition gouvernementale contre le protectionnisme par le libre-échange à outrance et à travers la critique négative de la politique des années précédentes. C'est à dire que le système manipule le peuple à accuser les mauvaises conséquences de la politique des dernières décennies et de l'affaiblissement de la France actuellement, afin d'éviter de mettre en lumière leurs causes provenant du judaïsme politique et de lobbies avides dont celui bancaire. La banque est même devenue une divinité, car elle va au delà des clivages gauche/droite et croyants/athées. Or elle est plus la divinité de toutes les doctrines politiques laïcardes qui lui vouent en réalité leur adoration. Il est donc inutile de la nommer, et c'est pourquoi le sujet de la Banque est presque inexistant dans la bouche de la propagande que sont les médias et les politiciens. Car sans cette divinité interdite d’être nommée, impossible pour ces doctrines politiques d’exister. Cette divinité dirigée par le pouvoir profond corrompu les financent, et leur permet de se nourrir de ceux qui votent ou qui travaillent.
Le 4 juillet correspond à fête d’indépendance des USA contre la perfide Angleterre. Or aujourd’hui, même si le peuple américain devait fêter chaque année son indépendance de toutes les façons possibles, il l’a en réalité perdue : l’Anglais a été remplacé par le pouvoir profond, qui se planque derrière les institutions ou organisations que sont le Pentagone, la Réserve fédérale, la presse de la côte Est, le lobby sioniste, le renseignement (dont NSA et CIA), les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) de la côte ouest et l’armée. Dans cette constellation, chacun tient son rôle, et le Président doit faire semblant de détenir le pouvoir, alors qu’il obéit à cette arborescence non étatique, de même que la classe médiatique mainstream y obéit car elle est tenue par la terreur.
Le pouvoir profond est donc dénommé correctement, puisqu'il contrôle tous les rouages de l'Etat de manière cachée et perverse. D'ailleurs en parvenant à soumettre à la dette la souveraineté de la plupart des nations dont fait partie la France, l'international système bancaire, usurier et financier réussit clairement à dominer tyranniquement le monde puisque par l'oppression. D'ailleurs comme la plupart des tyrannies, le système occidental actuel fonctionne sur le mensonge : « Je suis le bien et ceux qui sont contre Moi sont le mal. » Il promet le bonheur à tous mais ne l’offre qu’à une poignée (l’oligarchie), en produisant ainsi une société schizophrénique. Car ce pseudo « bien » répandu prétendument partout contient du mal, et ce mal est profond. D'ailleurs par une inversion des valeurs (et des symboles) et donc une propagation de la dépression à cause de ce système, l’individu pieux ou digne qui ne peut se conformer à cette nouvelle norme est considéré comme mauvais. Ce mensonge (ou l’auto-mensonge) peut alors suturer la plaie de la conscience morale des égarés soumis au système, mais seulement pour un temps, car la plaie (dont aussi économique) ne va qu'en s’élargissant. Et même si l’approche de l’Apocalypse doit se signaler par une profonde confusion intellectuelle et morale généralisée, les justes disposeront donc de grâces particulières de discernement pour ne pas sombrer dans l’apostasie générale des derniers temps. Ainsi cette inversion des valeurs doit bien être comprise quand on cherche à la critiquer moralement, dont à propos de sujets comme quand l'anormalité progressiste se prétendant normale viole la normalité naturelle.
Pour l'illusion de ne pas être rien dans l'actuel monde pervers des dominants actuels, l’injonction de réussite économique imposée par notre société de consommation puisque fondée avant tout sur le profit individuel et ainsi la domination, produit logiquement beaucoup de déchets par mi ces égarés indignement soumis que le pouvoir profond appelle les dominés. En effet cette injonction constitue une violence faite à la plupart des individus pas forcément capables de comprendre l’agressivité de ces grands prédateurs souvent oligarchiques d'humains, ni par conséquent d'y répondre. Ainsi une société laïque basée essentiellement sur une valeur suprême qu'est le profit et la pseudo jouissance permanente y étant liée finit logiquement par ne plus avoir de limites ni donc de valeurs.

Certes il faut survivre, et survivre dans les conditions qui nous sont données. Mais la survie actuelle est déterminée par un ordre supérieur pour lequel ne compte que sa propre survie. On l’a vu avec les deux guerres mondiales, car elles illustrent le pouvoir démoniaque d’oligarchies et de lobbies au détriment de la majorité des humains.
Une société dont le principe moteur est la concurrence, correspondant au bout du compte à une guerre de tous contre tous, est fondamentalement injuste car elle produit des dominants et des dominés, des vainqueurs et des défaits. Les humains qui s’y plient participent irréligieusement à l’injustice et à l’écrasement des plus faibles au profit des plus forts. La société devient un concours difficile permanent, dont les perdants ne se remettent pas toujours. Or la guerre de tous contre tous amènent en plus au chaos opposé à l'ordre, et donc finalement à l'autodestruction de l'humanité. Il existe de vitaux moyens moins violents d’organiser la société. Des expériences basées sur l’entraide et non la guerre réapparaissent ici et là. Les mathématiques, sur lesquels la sélection sociale se fait aujourd’hui (hier c’était le latin), peuvent être enseignés de manière collaborative et non concurrentielle. Il y aura bien sûr toujours des forts en maths, mais il n’est pas nécessaire d’en dégoûter les faibles.
Ainsi lorsqu'un président réellement patriote prend le pouvoir, il doit nommer des souverainistes comme responsables de l'éducation, des chaînes de télévision publique et du contrôle de la monnaie (création monétaire), car qui contrôle la connaissance, l'opinion et la monnaie contrôle le politique, et qui contrôle le politique contrôle le pays par la loi (et peut donc priver la liberté d'action de la résistance) : Mayer Amshel Rothschild (banquier privé) : « Donnez moi le contrôle sur la monnaie d'une nation (et ses médias mainstream), et je n'aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. »
En effet la monnaie n'est plus utilisée comme un service permettant à une population de se développer, elle est utilisée pour asservir une population par des intérêts catégoriels.
Cependant dans certains cas comme la Russie, le pays n’est pas une Nation en vérité mais un Empire avec une multitude de minorités ethniques. C'est pourquoi le Président Vladimir Poutine a dit que c’est à partir de cela que la Russie est née et qu’il faut donc que ses patriotes fassent preuve de tolérance pour la maintenir : « C’est la base de l’existence de la Russie, et si on penche vers le nationalisme des cavernes, si on dit du mal des représentants d’autres groupes ethniques, on détruira le pays », a-t-il conclu. Et c'est dans ce sens sage que sur le plan économique, Poutine est libéral mais interventionniste (protectionniste) dans les secteurs stratégiques.
Il faut noter que la communiste (mais aussi orthodoxe) Russie égalitaire et antiraciste a triomphé du nazisme Allemand inégalitaire et raciste lors de la deuxième guerre mondiale. Ainsi Poutine amène aussi légitimement et noblement la réconciliation entre le communisme et l'orthodoxie. En effet l'Empire multinational russe a triomphé du nazisme racial (nationaliste) dont lors de la victoire héroïque à Stalingrad, et triomphera similairement des multinationales privées suprémacistes.
Le nationalisme souverainiste russe avancé par Vladimir Poutine est donc un nationalisme positif unifiant, puisque comme devraient le faire tous les pays du monde, opposant les souverainistes aux faux identitaires souvent non catholiques, non anti-mondialistes et pro union européenne wokiste, que l’on pourrait aussi traduire pour la Russie de la façon suivante : un patriotisme d’empire contre le petit nationalisme racialiste qui est l’ennemi de la Russie.
La France qui était un allié fort de la Russie au temps des tsars devrait en faire de même. D'ailleurs avant la guerre en Ukraine et même encore maintenant si les européens ou plutôt leurs élites retrouvent la raison, Poutine en ayant utilisé l'expression du Général de Gaulle « Maison Commune » à propos de la possible alliance naturelle entre la Russie en plus désormais orthodoxe et l'Europe chrétienne, montre sa volonté, son espoir et donc la possibilité de parvenir à l'élaboration de ce projet. Or les présidents français ayant suivi de Gaulle ont toujours refusé cela en affaiblissant la France par petitesse, médiocre soumission au USA ou/et corruption, alors que certains se prétendaient pourtant gaullistes...
En revanche même sous des dirigeants peu grands, la Russie s’est développée de manière constante parce que son modèle de gouvernance, avec un centre autoritaire sauvegardant les intérêts de communautés éloignées, grandes et petites, sans distinction d’ethnie, de langue ni de religion, a progressivement gagné des adhérents parmi les populations voisines sur la base évidente du principe de complémentarité ethnique. Les deux contre-exemples d’incompétence massive sont les présidents libéraux Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine, qui ont amené la Russie au bord de l’effondrement économique et de la dissolution politique voire du découpage territorial comme le recherchent toujours les anglo-saxons. Mais depuis dont grâce à Poutine, la Russie n’a cessé d’étendre son influence et a d’excellentes chances de rejoindre les autres grandes nations d’Eurasie pour former un centre de pouvoir eurasien qui se débarrassera du fardeau du contrôle extérieur et de l’exploitation par les nations occidentales.
En effet les judicieux principaux objectifs intérieurs russes étaient désormais le développement de l'instruction, des hautes technologies, de l'industrie et du secteur primaire pour tendre vers l'autonomie ; la conservation des cerveaux nationaux (sauf ceux au chômage tels des ingénieurs puisque pouvant participer à développer d'autres nationaux comme celles d'Afrique pacifiées) ; et le bien être de la population.
Pour préserver la stabilité d'un pays, tous les secteurs économiques de bases doivent être portés en grande partie par ses citoyens avec une répartition équitable des travailleurs et de la richesse créée, et toute monnaie répandue à la valeur intrinsèque moyenne non périssable d'au moins cent euros est le mieux pour huiler ce système.
« Nous devons produire de manière indépendante (souveraine) tout ce dont nous avons besoin pour la sécurité, le développement économique, l’apport de solutions aux problèmes sociaux, l’introduction de technologies modernes (dont de l’intelligence artificielle), afin de ne pas souffrir de nouveaux « caprices » quand et s’ils (pays occidentaux) veulent nous attaquer avec des sanctions. » (Lavrov)
« La principale différence entre l’État-empire et l’État-nation est définie par la formule de « l’unité stratégique de la diversité » qui remplace « l’unification de l’État-nation ». Les paramètres de la formation de l’État différencient de manière cardinale les approches de la formation de l’État-nation : d'un côté l’État de l’ère moderne, du matérialisme, du progressisme et du positivisme (de la raison sans règles religieuses) ; et à son antipode, l’État-empire : un État traditionnel fondé sur les catégories de l’Éternité et non du temps, de l’Esprit et non de la matière, du traditionnel (monothéisme) et non du profane, de l’organique (du naturel) et non de l’artificiel, du communautaire et non du privé. » (Extraits de l'excellent article « Un nouveau projet impérial pour la Russie » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/05/un-nouveau-projet-imperial-pour-la-russie/)
Il est intéressant de lire aussi à ce sujet l'article « L’extrême droite identitaire : stade suprême de la modernité ? » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/05/lextreme-droite-identitaire-stade-supreme-de-la-modernite/
Le nationalisme perversement identitaire, le libéralisme individualiste, le gauchisme wokiste, l'écologisme supranational, la géopolitique injuste, l'actualité et la laïcité progressiste sont de véritables idoles synonyme  de sournoiserie, d'indignité, de futilité, d'impiété et donc de grand danger. Et c'est pourquoi vivre pour que la parole d'Allah (de Dieu), de Ses voies du Bien et de Son Messager soit la plus haute a d'autant plus une valeur supérieure à notre époque.
Alors que le pervers occident ploutocratique devient de plus en plus antidémocratique et autoritaire avec son politiquement correct sans fin (devenu progressisme wokiste synonyme de fausse bien-pensance ou plutôt d'asservissement amoral des peuples éternellement) dont à travers sa recherche d’une vie meilleure par le biais de l’accouplement non reproductif, de l’hormonothérapie et de la mutilation génitale pour les transsexuels, la Russie reste un pays libre avec une perspective sociale sainement conservatrice qui devient de plus en plus attrayant pour les gens du monde entier dont de nombreux occidentaux déçus par leur système. Ainsi les valeurs originelles (monothéistes) de la Russie sont leur meilleure arme pour perturber puis guider l'occident devenu pitoyablement progressiste ou au moins ses peuples, pourquoi pas en accueillant une partie de la possible future migration de nombreux européens face à la dégradation de leur vie, ou en réussissant à bâtir l’axe Paris-Berlin-Moscou seul capable de donner à l’Europe sa sphère d’influence et un meilleur chemin économique, ce qui en soi est très gaulliste (l’Europe du Général de Gaulle allait de l’Atlantique à l’Oural, ce qui n'est pas le cas de l'UE oligarchique en partie à cause du traité atlantique Nord actuel, en particulier car les USA ont toujours lutté contre ces très longues voies continentales de Brest à Vladivostok afin de conserver leur contrôle du monde par les voies maritimes).
On peut noter ici qu'un aspect médiocre du nationalisme est parfois le rejet de l'étranger, alors que le patriotisme (d'abord économique dont par une politique monétaire et budgétaire indépendante) doit d'abord être l'amour des siens.
Un énorme changement de conscience a eu lieu en Russie. Si jusqu’à présent (du moins depuis 1970), les classes instruites russes avaient tendance à se sentir inférieures à l’Occident, les terres prospères de la liberté, cela a maintenant beaucoup changé.
En effet depuis la guerre froide, le peuple russe s’est toujours senti attiré par l’Occident, sa culture et son art de vivre. Pendant des décennies, beaucoup de Russes ont imaginé leur futur s’inscrire en Europe ou aux États-Unis, nourrissant même un complexe d’infériorité par rapport aux Occidentaux. Cependant, la guerre totale que mène l’OTAN contre la Russie, via son proxy ukrainien, a dévoilé au peuple russe la face haineuse et fondamentalement russophobe de cet Occident. En montrant au peuple russe que son futur pouvait s’inscrire en Russie, dans sa culture, ses traditions et sa religion millénaire, Vladimir Poutine a su recréer cette idée unificatrice et a très fortement réuni autour de lui une population désormais consciente des visées destructrices de l’hégémon globaliste. Du soudeur de Vladivostok au millionnaire moscovite, les Russes, dans leur diversité, se sentent aujourd’hui unis dans une même communauté de destin derrière leur président, et cette immense popularité laisse peu d’espace à ses opposants, promis logiquement à des scores marginaux lors du prochain scrutin. Poutine a en plus montré à de nombreuses reprises que c’est avec les anti-globalistes, tels que Viktor Orbán en Hongrie, Robert Fico en Slovaquie, et d’une façon générale avec les souverainistes européens qu’il est le plus en phase et avec qui il veut travailler. En témoignent aussi les récentes déclarations de Dmitri Medvedev appelant à soutenir « de toutes les manières possibles les partis antisystèmes ». Sur un plan civilisationnel non moins crucial, Poutine est aussi aujourd’hui le seul leader européen à avoir les moyens de mettre un terme au déclin moral de l’Occident, à défendre, face au woke, à la cancel culture et au LGBT, les valeurs traditionnelles et de raison qui sont les nôtres. Enfin, en donnant à son armée les moyens de vaincre l’Ukraine sur le champ de bataille, c’est non seulement l’OTAN mais aussi l’UE qu’il affaiblit, permettant ainsi aux partis authentiquement patriotes d’Europe, d'Afrique et Sud global de relever la tête.
Cependant comme le Président Poutine le fait bien, il faut rester dans un juste milieu au niveau de l'Etat, tout en tendant vers les lois monothéistes authentiques pour éviter les maux de l'excès d'Etat qui a fait effondrer l'union soviétique et de l'absence d'Etat qui fait s'effondrer la France et d'autres pays occidentaux dont les USA au profit du secteur privé très riche en particulier États-uniens.
L’un des principaux directeurs de théâtre russes, Constantine Bogomolov, a déclaré que l’Occident est désormais défait, dont à travers le politiquement correct obligatoire, son annulation de la culture, son agenouillement devant des Back Lives Matter (BLM), son culte des transsexuels, sa peur du « harcèlement » et du sexe, son engouement « Woke », (ses émeutes ethniques), et sa peur de la mort (et de la vie !). Or les participants aux émeutes ethniques françaises et aussi américaines n'ont souvent pas de conscience, ni donc de compréhension de leur utilisation politique, ni donc de vision politique, ni donc d'avenir dont par preuve de leurs fréquentes destructions d'écoles, de bibliothèques et de magasins de proximité, et surtout par preuve que ce sont les vols de biens matériels qui ont principalement eut lieu dans une forme de matérialisme irréfléchi. Un peu plus d’une semaine après le déclenchement des émeutes, il apparaît que la spécificité française, l'antériorité de l’immigration de masse, la culture du déni, l'occultation des réalités ethniques et l'individualisme en sont l'origine.