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A) Suite 1



Ainsi toutes ces analyses ont fini par faire disparaître le dernier reproche que je portais au Créateur. En effet la gêne, la fatigue, la tristesse, la souffrance et le malheur  étaient des réalités que je ne pouvais accepter. Mais à force de méditation, Dieu m'a fait comprendre qu'elles incarnaient logiquement un sentiment opposé au bonheur nous faisant comprendre et valoriser son sens, la base essentielle de la conscience morale humaine puisque n'étant possible que par la connaissance du désagréable et du plaisir liée à la mémoire, un fréquent bon futur caché derrière, une évidente preuve de notre implication noble que sont les pieux efforts voire sacrifices de notre corps pour les voies du bien divines apportant progressivement au cœur une émotion permanente de victoire (car la noblesse authentique est la seule vraie vie et victoire, sinon c'est que l'on vit dans le faux qui est pire que le néant, puisque le faux est négatif alors que le néant est neutre), ainsi qu'une absolution divine effaçant les péchés, et que bientôt, pour les croyants bienfaisants, ce sera comme si tout malheur, douleur ou peine n'avait jamais existé, tout en étant récompensés très joyeusement. De toute manière, il est clair que la victoire, la sincérité, le bonheur et toute chose ayant une très grande valeur (dont la rencontre de Dieu, l'affection familiale, la vie éternelle au Paradis et l'ennoblissement personnel maximal humain) aime auparavant la droiture, la loyauté, l'effort, la bienfaisance, la difficulté, la patience, la préparation et la valorisation, d'où l'importance d'aimer ces valeurs, dont aussi pour les rendre plus faciles :
(S32v16/17) « Ils s'arrachent (péniblement) de leurs lits (au dernier tiers de la nuit) pour invoquer leur Seigneur, par crainte et espoir ; et ils font largesse de ce que Nous Leur attribuons. Aucun être ne sait ce qu'on a réservé pour eux comme sources de sérénité profonde, en récompense de ce qu'ils œuvraient ! »
(S57v25) « Nous avons effectivement envoyé Nos Messagers avec des preuves évidentes, et fait descendre avec eux le Livre (révélé) et la balance, afin que les gens établissent la justice (moralement et économiquement). Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, aussi bien que des utilités pour les gens, et pour qu'Allah reconnaisse qui, dans l'Invisible (la croyance en Dieu), défendra Sa cause et celle de Ses Messagers. Certes, Allah est Fort et Puissant. »
(S76v22) « Cela (le Paradis) sera pour vous une récompense, et votre effort (y) sera reconnu. »

(S29v10/11) « Parmi les gens il en est qui disent : « Nous croyons en Allah », puis, si on les fait souffrir pour la cause d’Allah, ils considèrent l’épreuve venant des hommes comme un châtiment d’Allah. Or s’il vient du secours de ton Seigneur, ils diront certes : « Nous étions avec vous ! » Allah n’est-il pas Le Meilleur à savoir ce qu’il y a dans les poitrines (niveau de foi) de tout le monde. Allah connaît parfaitement les croyants et connaît parfaitement les hypocrites. »
(S2v207) « Et il y a parmi les gens celui qui se sacrifie pour la recherche de l'agrément d'Allah. Et Allah est Compatissant envers Ses serviteurs. »
(S108v2) « Accomplis la Salat pour ton Seigneur et sacrifie. »
(S13v27/28) « Ceux qui ont mécru disent : “Pourquoi n'a-t-on pas descendu sur lui (Mouhamed) un miracle venant de son Seigneur ?” Dis : “En vérité, Allah égare qui Il veut et Il guide vers Lui celui qui se repent, ceux qui ont cru, et dont les cœurs se tranquillisent à l'évocation d'Allah.” N'est-ce point par l'évocation d'Allah que se tranquillisent les cœurs (telle lors d'une victoire sportive) ? »
(S5v55/56) « Vous n'avez d'autres alliés qu'Allah, Son Messager, et les croyants qui accomplissent la Salat, s'acquittent de la Zakat, et s'inclinent (devant Allah). Et quiconque prend pour alliés Allah, Son Messager et les croyants (réussira), car c'est le parti d'Allah qui sera victorieux (dans leur cœur, à la fin des temps, au Jour du Jugement Dernier et au Paradis). »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Un sourire fait à ton frère est une aumône, ordonner le bien ou interdire le mal est une aumône, orienter un homme ayant perdu son chemin est une aumône, guider l'aveugle dans la rue est une aumône, dégager du chemin ce qui nuit ou gêne est une aumône, verser l'eau de ton seau (que tu viens de remplir du puits) dans le seau de ton frère (ou donner à boire) est aussi une aumône. » (Tirmidhi)
Selon Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « L'homme, pour chacune de ses articulations, doit verser l'aumône chaque jour où le soleil se lève. Pratiquer l'équité entre deux personnes est une aumône. Aider un homme à enfourcher sa monture ou à lui hisser ses bagages est une aumône. Dire une bonne parole est une aumône. Tout pas effectué vers un lieu de prière est une aumône. Et écarter ce qui gêne la voie est encore parmi les aumônes . »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Il n’est pas une fatigue, une maladie, un souci, une peine, un mal ou une angoisse qui touche un musulman, jusqu’à l’épine qui le pique, sans que Dieu ne lui efface à cause de cela une partie de ses péchés. » (URA)
Abdallah Ibn Khalifa raconte : J'étais avec Omar Ibn Al Khattab (SDP) dans un enterrement, quand son lacet se déchira. Et il s'exclama alors : « Nous appartenons à Allah et à lui nous retournerons. » Puis il rajouta : « Tout ce qui te contrarie est pour toi un malheur (dont car au Paradis tout est incassable, invulnérable, immortel et bon, et les souhaits y sont à volonté). »
Le Messager de Dieu (SDBSL) a dit : Le Jour de la Résurrection, on fera venir d'entre les gens de l'Enfer, celui qui aura le plus joui de la vie ici-bas. On le plongera alors une seule fois dans le Feu (brièvement) et on lui dira : « Ô fils d'Adam ! As-tu jamais connu quelque bien ? As-tu jamais rencontré quelque opulence ? » Il dira : « Non par Dieu, ô mon Seigneur (car sa vie sur terre sans Dieu n'était en réalité que de l'indignité) ! » Puis on fera venir celui des gens du Paradis qui aura connu la vie la plus misérable dans ce bas-monde. On le plongera alors une seule fois dans le Paradis (brièvement) et on lui dira : « Ô fils d'Adam ! As-tu jamais connu quelque misère ? As-tu jamais rencontré la gêne (ou le malheur) ? » Il dira : « Non par Dieu mon Seigneur ! Je n'ai jamais connu la misère et je n'ai jamais rencontré la gêne (ou le malheur, la souffrance ou la peine, car ce n'était en réalité que de la dignité en Dieu). » (Mouslim)

Depuis ma première lecture de ce hadith et toujours plus par ce site incarnant aussi grandement mon pieux cheminement personnel, tout au bout de l'obscurité de l'esprit et du cœur, comme au-delà de tout, je sens tel à travers la fitra le brillant royaume divin représentant la dimension d'éternité exempte de commencement, situé derrière de gigantesques colonnes de marbre blanc, entre lesquelles soufflés par un doux vent de miséricorde flottent des rangées de superbes voiles d'une blancheur éclatante presque transparente, qui filtrent les magnifiques rayons apaisants de la noble lumière divine. C'est une idée personnelle qui ne cherche pas à donner une image de Dieu, mais plutôt à ressentir avec conviction la présence de cette Entité Absolue qui existe depuis toujours et à jamais. Il faut noter que cette lumineuse présence divine très noble se rapproche, se précise, s'affine et s'intensifie au fur et à mesure qu'on avance dans la foi, la pratique religieuse, la piété et le service aux autres, malgré que dans notre cœur, cela augmente simultanément la grandeur de Dieu.
Par conséquent chaque jour mon cœur s'épanouit comme une fleur au soleil de l'existence divine. Et quand je me promène sur la vaste terre d’Allah avec mon sentiment de foi, je sens les brises souffler Sa présence affectueuse, j’entends les oiseaux chanter Sa gloire, je vois les fleurs refléter Sa beauté, je perçois les perles représenter Sa pureté majestueuse, et je ressens Ses douces gouttes de pluie fine m'embrasser
et L'embrasser aussi de ma part. Cette émouvante relation transcendante a évidemment décuplé la valeur du moment présent et de mes proches, puisque rappelant constamment la réalité de l'excellente éternité à venir pour les esprits nobles. Ainsi le temps et les soucis disparaissent dans un sourire avec le souvenir de l'éventuel agrément du Sage Créateur. Ma confiance dans cette logique réponse existentielle remplie de respect, de crainte, de dignité, d'honneur et d'espoir fait même régulièrement étourdir mon âme. C'est pourquoi j'implore le Seigneur de pouvoir m'évanouir dans le soulagement intime de Son étreinte amoureuse après ma mort, c'est à dire lorsque les dernières vagues du destin m’auront totalement submergées. En effet, mon cœur perçoit une constante pluie de lumineuse noblesse divine m’inondant progressivement, représentant ma très grande fierté d'avoir Allah le Très-Haut comme Seigneur, et donnant véritablement envie de gagner Sa satisfaction, pour accéder au plus haut niveau du Paradis, et donc souvent contempler Sa face, et donc parvenir à ce que mon ciel devienne Son Trône puisque je considère que Son Trône est déjà mon ciel. La finesse sage, morale, poétique, sentimentale, sensuelle et subtile au cœur de la gigantesque Création de ce Fort Seigneur Irréprochable me comble à un tel point, que mon âme devient en plus souvent désemparée par un amour si grand pour Lui.
En continuant de décrire le sentiment de la foi en Dieu, il faut préciser que la première inspiration dans la croyance devenue certaine, ayant donc un aspect abondant par la largesse de sa rassurante vie éternelle épanouissante, détient évidemment plus de vitalité que l'accumulation de toutes les précédentes dans l'étroitesse de l'étouffante vie éphémère oppressante. Et en se rappelant cette description, les suivantes peuvent être toujours aussi vivifiantes, et il suffit d'y croire pour le (sa)voir :
Selon Abou Moussa Al Ashari (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « L'image de celui qui évoque son Seigneur et de celui qui ne L'évoque pas est comme l'image du vivant et du mort. » (Boukhari)
(S6v125) « Et puis quiconque Allah veut guider, Il lui ouvre la poitrine à l’islam (et donc la sérénité). Et quiconque Il veut égarer, Il rend sa poitrine étroite et gênée, comme s’il s’efforçait de monter au ciel (manque d'oxygène). »
(10v11) « Et si Allah hâtait le malheur (légitime rétribution mauvaise) avec autant de hâte à ceux qui cherchent (hâtivement dans une rapidité inconséquente, impie et illusoire, et donc désespérément) le bonheur, le terme de leur vie aurait été décrété. Mais Nous laissons ceux qui n'espèrent pas Notre rencontre (au sein d'une existence oppressée) confus et hésitants dans leur transgression (insatisfaits dans leurs plaisirs pervers éphémères, et donc dans leur infidélité synonyme d'incomplétude car sans distinction noblement morale ni foi en Dieu représentant éidemment la réelle plénitude). »

De plus, si la foi est intensifiée par l'augmentation des pratiques cultuelles, le suivi permanent du licite, la constance de la propreté rituelle hygiénique, de fréquentes évocations du divin, de multiples méditations, deux jours de jeûne hebdomadaires, de sages comportements, un doux caractère, une bonne moralité, la régularité d'une activité physique, l'allègement des repas, la diminution modérée du sommeil, la multiplication des glorifications et des louanges affectueuses envers Dieu, de nombreuses prières nocturnes, l'acquisition de science, la bienfaisance sociale, la participation régulière à une association caritative, le rappel fréquent de l'excellent Paradis Éternel et une persévérance dans ce très digne rythme de vie prophétique qui s'entretient par ces œuvres s'attirant agréablement car s'alimentant dignement les unes les autres tel un cercle vertueux, elle devient une inégalable émotion apaisante élevant l'esprit de l'être humain vers les vents des nobles sentiments, puis faisant ainsi tourbillonner la sensibilité de son cœur pur dans les hautes qualités morales, étant logiquement le véritable bonheur suprême car synonyme de la foi maximale « fitra » souvent atteinte, jusqu'à parfois faire déborder des larmes de ses yeux par respect et amour envers Dieu l'Irréprochable :
(ExtS53v43) « c’est Lui (Allah) qui fait rire et qui fait pleurer (parfois rapidement l'un après l'autre pour Son irréprochable dignité voire ensuite simultanément donc de de foi et de noblesse émouvantes comprises) et c’est Lui (Allah) qui fait mourir et qui ramène à la vie »
Commentaire : Le verset précédent est une excellente nouvelle, car il montre que c'est Dieu qui fait noblement rire d'humour et donc de fine (subtile) légèreté, et noblement pleurer de profondeur et donc de forte lourdeur.
Abdullah Ibn Ashikhir (SDP) rapporte : « Je vins trouver le Messager de Dieu (SBDSL) alors qu'il était en prière. Il pleurait et sa poitrine laissait entendre le bruit d'une marmite en ébullition (avant tout par intense sensibilité et profond amour pour la suprême noblesse de la position et des choix irréprochables de Dieu, pour avoir vu le Paradis et l'Enfer, pour sa très grande mission de transmission du message divin et de responsabilité envers sa communauté qui est la fin de l'humanité voire toute l'humanité, pour la volonté de recevoir l'amour éternel d'Allah, pour l'espoir que la maximum d'humains soient guidés, pour le remerciement d'être l'ultime Prophète, et donc pour l'immense honneur d'être la meilleure créature et ainsi la préférée du Seigneur, alors que parmi ses ascendants, ses descendants, sa famille proche et l'humanité, certains auront été insouciants, associateurs, incroyants ou/et  pervers iront en Enfer, et sa poitrine faisait  aussi certainement ce bruit car il essayait de ne pas faire de bruit en pleurant, mais l'émotion trop forte débordait quand même en un léger son lié à la respiration et au hadith suivant). » (Abou Dawoud et Tirmidhi)
Commentaire : Il faut noter qu'avec une pieuse sensibilité profonde, tout humain peut ressentir en partie tout cela, dont selon le verset suivant.
(S5v83-85) « Et quand ils (les pieux) entendent ce qui a été descendu sur le Messager (Mouhamed), tu vois leurs yeux déborder de larmes, parce qu'ils ont reconnu la vérité. Ils disent : “Ô notre Seigneur ! Nous croyons ! Inscris-nous donc parmi ceux qui témoignent (de la véracité du Coran). Pourquoi ne croirions-nous pas en Allah et à ce qui nous est parvenu de la vérité. Pourquoi ne convoiterions-nous pas que notre Seigneur nous fasse entrer en la compagnie des gens vertueux ?” Allah donc les récompense pour ce qu'ils disent par des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, où ils demeureront éternellement. Telle est la récompense des bienfaisants. »
Abou Moutarrif (SDP) a dit : « J'ai vu le Messager d'Allah (SBDSL) prier et sa poitrine lâchait des soupirs (sifflement d'expiration) comme un moulin qui grince tellement il pleurait. » (Abou Dawoud)
Aalqama (SDP) demanda : « Mère (Aïcha) ! Comment le Messager d'Allah (SBDSL) pleurait les morts proches ? » Elle répondit : « Ses yeux ne larmoyaient pour personne (sauf pour Dieu et dans une version une fois pour la mort de Saad Ibn Mouaad dont il est dit que le Trône divin vibra pour sa mort, et il a pleuré aussi sans cri ni plainte pour la mort d'autres compagnons proches ou d'enfants), mais quand il était triste, il prenait sa barbe. »
Abou Hourayra (SDP) raconte : J'ai dit : « Ô Messager d'Allah ! Quand nous sommes auprès de toi, nos cœurs sont sensibles, nous ne désirons plus ce bas monde et nous nous attachons à l'au-delà. » Il dit : « Si en sortant de chez moi vous restiez comme vous êtes auprès de moi, les anges vous visiteraient et vous serreraient les mains dans la rue (par cette foi très sensible qui pourrait vous faire pleurer tout le temps de noblesse, mais c'est recommandé de tendre vers cela puisque le Prophète pleurer souvent en prière). Et si vous ne péchiez pas, Allah aurait ramené des gens qui pêchent jusqu'à ce que leurs péchés atteignent les nuages (ou le firmament), puis ils auraient demander le pardon d'Allah, et Il leur aurait pardonner quoi qu'ils aient commis sans s'en soucier. »
Aïcha (SDP) a dit : « Le premier fléau qui frappa cette communauté (musulmane) après (la mort de) son Prophète est le rassasiement (qui provenait de l'enrichissement suite à la transformation du Califat en empire). Quand les ventres des gens furent remplis, leurs corps engraissèrent, leurs cœurs faiblirent (dans leur sensibilité) et leurs envies s'emballèrent. » (Boukhari)
Selon Abdullah Ibn Amr Ibn Al As (SDP), le Prophète (SBDSL) récita ces paroles que Dieu a placées dans la bouche d'Abraham :
(S14v36) : « Ô mon Seigneur, elles (les idoles) ont égaré beaucoup de gens. Quiconque me suit est des miens. Quand a celui qui me désobéit... c'est Toi, le Pardonneur, le Très Miséricordieux ! », puis celles dites par Jésus : (S5v118) : « Si Tu les châties, Tu en as le droit, car ce sont Tes créatures. Et si Tu leur pardonnes, Tu es en vérité, le Puissant, le Sage ! » Le Prophète (SBDSL) leva alors ses mains et dit : « Seigneur Dieu ! Ma communauté ! Ma communauté ! », puis il pleura (ce qui prouve l'authenticité de sa mission). Dieu (Glorifié-soit-Il) dit à l'Archange Gabriel : « Ô Gabriel ! Va voir Mouhamed (et Dieu est bien Informé) et demande-lui ce qui le fait pleurer. » Gabriel se rendit chez le Prophète (SBDSL) qui l'informa de ce qu'il avait dit (et Dieu en est bien Informé). Dieu dit alors à Gabriel après son retour : « Ô Gabriel ! Rends-toi auprès de Mouhamed et dis-lui que Nous allons lui donner satisfaction à propos de sa communauté et qu'il ne sera pas lésé. » (Mouslim)
Commentaire : Le hadith précédent montre qu'une des utilités des anges est de mettre en relief des décisions de Dieu dans Son relationnel avec certains de Ses créatures, tout en étant donc des témoins de cela.
Pour parvenir à cet excellent rythme de vie au mieux, c'est à dire progressivement, il est important d'être discipliné au début, afin d'entretenir la vigilance le conservant, puis d'atteindre l'habitude le facilitant dont par la mémoire des muscles, sans oublier d'ensuite le vivre profondément pour ne pas devenir inappliqué.
Un des nobles buts de l'être humain est donc d'augmenter sa piété pour atteindre souvent et momentanément la note parfaite de cette foi suprême qu'est la fitra pas forcément accompagnée de larmes, afin de couramment ressentir la plus proche intimité avec Le Majestueux, dignement augmenter la valeur et la force noble de son âme, et profondément développer son humilité qui est la qualité propre à une créature et donc un des principaux piliers de sa grandeur. Cette note parfaite qu'est la fitra est tel un apaisant bruit blanc parfait, fixant agréablement voire très agréablement l'esprit et le cœur, car dans la noblesse maximale liée aux attributs divins nobles par excellence. C'est à dire qu'il s'agit d'un invariable bruit permanent incarnant la sereine noblesse excellente, tel un son de ventilateur apaisant sagement un bébé. En effet cette délicieuse fixation émotionnelle correspond à l'excellente énergie constante de cette fitra présente dans le très fin et ainsi intense centre profond du cœur. D'ailleurs associer un aspect de la fitra à un bruit blanc est logique, car cela correspond à une forme d'unicité permanente, surtout que le silence de la nuit est un bruit blanc et l'obscurité de la nuit est une vision blanche, et qu'il est pieusement conseillé de prier l'Unique dans son dernier tiers. En rappelant que cette fitra est une fenêtre de foi suprême, absolue et permanente synonyme de noblesse maximale, puisque ouverte sur Dieu et Ses attributs sublimes à travers donc le meilleur ressenti.
Il faut noter qu'expirer au maximum, garder l'index tendu représentant l'unicité divine, ou appuyer assez fort sur le haut des paupières fermées durant un petit moment dont car comparable à la sensation de l'endormissement, permet de ressentir intensément et donc visualiser clairement cette fitra située dans le très fin centre profond du cœur, en sachant qu'une situation éprouvant grandement notre patience et que la retraite spirituelle tabligh permettent aussi de ressentir la fitra et son aspect agréable. C'est à dire que tel à l'instant du réveil et de l'endormissement, la profonde sérénité permet logiquement de ressentir et donc visualiser (la grande paix intérieure liées aux attributs divins noble par excellence de) cette fitra. D'ailleurs la fatigue et le sommeil quotidiens, et donc le relâchement et l'abandon quotidiens, semblent particulièrement nécessaires à chaque humain pour acquérir dans son cœur un niveau important de sérénité comparable au ressenti de la foi et de la piété, en particulier s'il est mécréant. Ainsi en s'immobilisant assis puis se détendant profondément, il s'agit aussi d'une forme de relâchement et donc d'abandon permettant de plus ressentir l'énergie très positive de la fitra, ce que recherche d'ailleurs mais dans un sens inexact toute idéologie de décontraction personnelle dont par la méditation, la discipline spirituelle et l'assouplissement corporel, tels le bouddhisme, le yoga et l'hindouisme.
Puis après l'avoir souvent bien ressentie et ainsi visualisée en particulier par son apaisement clairement ressenti dès le début, on peut ensuite percevoir cette fitra simplement avec la concentration, la méditation ou/et notre orientation vers la sérénité profonde. Ainsi le relâchement émotionnel jusqu'à l'abandon dans la prière, en particulier lors de l'humble prosternation, permet aussi de ressentir et visualiser la fitra pour entretenir l'excellente pieuse noblesse du cœur et donc de l'âme et de l'esprit, et c'est pourquoi, il y a cinq prières obligatoires quotidiennement. Dans ce sens, il est aussi important de se détendre souvent profondément par notre compréhension que nous sommes dans l'excellence de la tradition prophétique musulmane, puisque au sein de l'excellente Création divine car proposant la valeur suprême qu'est l'ennoblissement maximal humain par l'islam à travers cette tradition prophétique. Tout ceci prouvant que malgré sa valeur grandiose, la vérité de la foi peut aussi être ressentie très précisément dont très honorablement jusqu'aux larmes bénies, particulièrement en se servant de tous ces abandons pour être dans celui en l'irréprochabilité divine et la sacralité véridique des enseignements islamique, source profonde d'apaisement, de sérénité, de bonheur, de piété, de sagesse et de noblesse intérieure, religieuse et sociale :
Le Prophète (SBDSL) a dit : « La foi est de croire en Dieu, en Ses anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jugement Dernier, et à la prédestination du bien et du mal (dans les épreuves et possiblement par rapport à la mort). » (Mouslim)
(ExtS48v4) « C’est Lui qui (a) fait descendre la quiétude (sérénité) dans les cœurs des croyants afin qu’ils ajoutent une foi à leur foi. »
(S34v46) « Dis : “Voici le seul et unique conseil que je vous donne : Mettez-vous sérieusement à l’œuvre à propos de Dieu (en L'évoquant), par groupes de deux ou chacun à part, et méditez ensuite.” » (autre traduction du début du passage suivant)
(S34v46-50) « Dis : “Je vous exhorte seulement à une chose : que pour Allah vous vous leviez, par deux ou isolément, et qu'ensuite vous réfléchissiez. Votre compagnon (Mouhamed) n'est nullement possédé. Il n'est pour vous qu'un avertisseur annonçant un dur châtiment.” Dis : “Ce que je vous demande comme salaire, c'est pour vous-mêmes, car mon salaire n'incombe qu'à Allah. Il est Témoin de toute chose.” Dis : “Certes, mon Seigneur lance la vérité (à Ses messagers). Il est Parfaitement Connaisseur de l'inconnaissable.” Dis : “La vérité (l'islam) est venue. Et le faux (la mécréance) ne peut rien commencer ni renouveler (dont par rapport à la morale et à la nature).” Dis : “Si je m'égare, je ne m'égare qu'à mes dépens ; tandis que si je me guide, alors c'est grâce à ce que Mon Seigneur m'a révèle, car Il est Audient et Proche.” »

Le Prophète (SBDSL) a dit : « N’entrera pas en Enfer un homme qui a pleuré par crainte de Dieu tout aussi bien que le lait ne rentre jamais dans la mamelle. Jamais la poussière soulevée au service de Dieu ne se mêlera à la fumée de l’Enfer. » (Tirmidhi)
Commentaire : Ce qui est logique car pleurer par crainte de Dieu est de la pure humilité évidemment bénie par Dieu.
Le Prophète Mouhamed (SBDSL) a dit : « Sept catégories de personnes seront ombragées par l'ombre de Dieu le jour où il n’y aura d’ombre que la Sienne (c'est à dire lors du Jugement Universel) : un chef équitable, un jeune homme qui a grandi dans le culte de Dieu, un homme dont le cœur est attaché aux mosquées, deux êtres qui se sont aimés en Dieu, se sont réunis en Lui et se sont séparés en Lui, un homme qu’une belle femme de haute position sociale a appelé à elle mais qui lui dit : « Je crains Dieu », et un homme qui évoqua Dieu loin de tous les regards et en eu les yeux débordant de larmes. » (URA)
(S17v109) « Et ils (les pieux) tombent sur leur menton (par respect devant Dieu en inclinant le tête ou en se prosternant), pleurant, et cela augmente leur humilité. »
Le Prophète (SBDSL) disait lors de sa maladie : « Demandez à Abou Bakr de diriger la prière des gens. » Aïcha répondit : « Ô Messager d'Allah, si Abou Bakr dirige la prière, ses pleurs empêcherons les gens de l'entendre clairement (puisqu'il récitera le Coran en sanglotant), ordonne plutôt à Omar de présider la prière. » Le Prophète (SBDSL) répondit : « Dites à Abou Bakr de diriger la prière pour les gens. » (Boukhari)
Or ce sublime ressenti de la fitra jusqu'aux larmes n'est vécu fréquemment que par ceux qui répondent constamment au mal par le bien, à la colère par la douceur, à l'injure par la parole courtoise, au mensonge par la vérité, à l'offense par le pardon, à l'injustice par la justice, au déshonneur par l'honneur, et aux épreuves par la meilleure sagesse. Il faut rappeler que la fitra correspond au souvenir émotionnel de notre pacte pré-existentiel ayant reconnu l'irréprochable seigneurie de Dieu, dont par tous Ses attributs naturels et toutes Ses qualités spirituelles excellemment gérées exclusivement :
(S41v34/35) « La bonne action et la mauvaise ne sont pas pareilles. Repousse (le mal) par ce qui est meilleur, et voilà que celui avec qui tu avais une animosité devient tel un ami chaleureux. Mais (ce privilège) n’est donné qu’à ceux qui endurent et il n’est donné qu’au possesseur d’une grâce infinie. »
Selon Aïcha (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) n'a jamais rien frappé de sa main, ni une femme, ni un serviteur, sauf quand il combattait au service de Dieu. Jamais il ne s’est vengé d’un tort qu’on lui avait fait sauf s’il s’agissait de la transgression d’une limite sacrée de Dieu le Très-Haut. Il se vengeait dans ce cas pour Dieu. (Mouslim)
Anas (SDP) rapporte que le Prophète (SBDSL) a dit : « Soutien ton frère qu'il soit juste ou injuste. ». Un homme dit alors : « Ô Prophète d'Allah ! Il est normal de défendre l'offensé puisqu'il subit l'injustice, mais comment doit-on soutenir l'offenseur ? »  Il répondit : « Tu l'empêches ou tu lui interdis de commettre son injustice (et si l'injustice a déjà été faite tu lui conseilles de la reconnaître puis de tendre à la réparer). » (Mouslim)
(S3v133/134) « Et concourrez au pardon de votre Seigneur, et à un Jardin (Paradis) large comme les cieux et la terre, préparé pour les pieux, qui dépensent dans l’aisance et dans l’adversité, qui dominent leur rage et pardonne à autrui, car Allah aime les bienfaisants. »
(S31v16-19) « (Le Prophète ou sage allié de Dieu) Loqman (paix sur lui) dit à son fils : « Ô mon enfant, fût-ce le poids d’un grain de moutarde, au fond d’un rocher, dans les cieux ou dans la terre, Allah le fera venir. Allah est Infiniment Doux et Parfaitement Connaisseur. Ô mon enfant, accomplis la salât, commande le convenable, interdis la blâmable, et endure ce qui t’arrive avec patience. Telle est la résolution à prendre dans toute entreprise ! Et ne détourne pas ton visage des hommes, et ne foule pas la terre avec arrogance, car Allah n’aime pas le présomptueux plein de gloriole. Sois modeste dans ta démarche, et baisse ta voix, car la plus détestée des voix, c’est bien la voix des ânes. »

En revanche il faut courageusement défendre les autres au péril de sa vie, tout en sachant que le pieux amour de la justice développe grandement le courage :
Abou Said Al Khoudri (SDP) rapporte qu’il a entendu le Messager de Dieu (SBDSL) dire : « Que celui d’entre vous qui voit une chose répréhensible (comme un vol), la corrige avec sa main ! S’il ne le peut pas avec sa main, qu’il la corrige avec sa langue ! S’il ne le peut avec sa langue, que ce soit avec son cœur, et c’est là le degré le plus faible de la foi. » (Mouslim)
Suite à ce chapitre, il apparaît qu'en islam, les larmes de la sensibilité pieuse, souvent donc causées par le ressenti de la fitra, ne sont que des paillettes d'or de profonde noblesse, jamais de la faiblesse, et rarement de la tristesse ou de la crainte, mais plutôt souvent de l'admiration, de la grandeur, de l'honneur, de la profondeur, de la joie, du regret ou/et de l'espoir. Il faut noter que ces larmes sont telle de la fièvre humide comme la transpiration du sport ou apaisante comme la sérénité du jeûne, purifiant comme la fièvre générale le corps des toxines, l'esprit des mauvais sentiments et le cœur de la perversité. Surtout que sans avoir pleurer ici-bas au moins pendant l'enfance, les gens du Paradis n'y comprendraient sûrement pas autant l'extrême finesse de sa félicité, logiquement basée principalement sur la foi, la dignité, l'amour et la joie. En sachant que le rire dans la noblesse et l'amour lors de l'enfance mais aussi l'âge adulte sensibilise aussi le cœur dan ce sens. D'ailleurs comme il a été vu, l’intensité déviée des grandes sensibilité et profondeur de la peur, de la tristesse et de l'amour participera à l'extrême puissance de la félicité sereine du Paradis, de même que l'immense intensité déviée du feu comme il sera revu. Ces larmes provoquées par un profond ressenti de la sublime noblesse présente dans Dieu et Sa Création étaient tellement respectées par les pieux compagnons du Prophète (SBDSL), qu'il leur est souvent arrivé de pleurer ensemble. Surtout que lorsque la fine noblesse suprême de la fitra est recherchée, découverte, ressentie et choyée, elle peut logiquement faire déborder tout noble sentiment jusqu'aux larmes tels l'émerveillement, le respect, la reconnaissance, l'honneur, la bienveillance, la pudeur et l'amour, puisque l'être humain pleure quand son cœur déborde de tristesse, de rire, de joie ou de peur :
(S53v59-62) « Quoi ! Vous étonnez-vous de ce discours (très noble qu'est le Coran) ? Et vous (en) riez et n’(en) pleurez point (par votre manque de sensibilité) ? Absorbés (que vous êtes par votre distraction). Prosternez-vous donc à Allah et adorez-Le. »
(S17v109) « Et ils (les pieux) tombent sur leur menton (par respect devant Dieu en inclinant le tête ou en se prosternant), pleurant, et cela augmente leur humilité. »

Abou Moutarrif (SDP) a dit : « J'ai vu le Messager d'Allah (SBDSL) prier et sa poitrine lâchait des soupirs (sifflement d'expiration) comme un moulin qui grince tellement il pleurait. » (Abou Dawoud)
Ibn Massoud (SDP) rapporte : « Le Prophète (SBDSL) me dit une fois : « Récite-moi le Coran ! » Je dis : « Est-ce que je me permettrais de te le réciter alors que c’est sur toi qu’il est descendu ? » Il dit : « J’aime l’entendre de quelqu'un d’autre que moi. » Je lui récitai alors le chapitre « les femmes ». Une fois parvenu au verset suivant : (S4v41) « Qu’adviendra-t-il donc lorsque Nous amènerons de chaque nation un témoin et que Nous t’amènerons comme témoin contre ceux-là (l’humanité) ? » Il dit : « Cela suffit. » Je me retournai alors vers lui et voilà que les larmes lui coulaient. » (URA)
Almiswar Ibn Makhrama (SDP) rapporte : On amena au calife Omar Ibn Al Khattab (SDP), une partie du butin de Qadisiyya (bataille décisive contre les Perses). Omar se mit à le passer en revue en pleurant. Abderrahmane Ibn Aawf (SDP) était avec lui et lui dit : « Chef des croyants ! Ceci est un jour de joie et de réjouissance. » Omar répondit : « Effectivement. Mais tout peuple qui a reçu ces richesses a été (généralement) frappé par la division et la haine. »
Moslim Ibn Bichr rapporte : Abou Hourayra (SDP) pleura pendant sa dernière maladie. On lui demanda : « Pourquoi pleures-tu, Abou Hourayra ? » Il dit : « En vérité, je ne pleure pas pour votre bas monde que voici, mais je pleure de la longueur de mon voyage (étapes de l'au-delà avant le Paradis ou l'Enfer) et de mon manque de provisions (bonnes actions). Je suis sur une pente et la descente aboutira au Paradis ou au Feu et je ne sais pas vers lequel je suis conduit. » Abou Hourayra (SDP) rapporte : Quand descendit le verset coranique :
(S53v59/60) « Quoi ! Vous étonnez-vous de ce discours ? Et vous en riez et n'en pleurez point ? », les habitants de la çoffa (pauvres de la mosquée du Prophète Mouhamed) pleurèrent jusqu'à ce que leurs larmes coulèrent sur leurs joues. Quand il les entendit, le Messager d'Allah (SBDSL) pleura avec eux et nous pleurâmes avec lui. Le Messager d'Allah dit : « Ne pénétrera pas dans le Feu quiconque a pleuré par crainte d'Allah, et n'entrera pas au Paradis quiconque s'obstine à faire un péché. Si vous ne péchiez pas, Allah aurait ramené des gens qui pèchent pour qu'Il leur pardonne. »
Bayheqi rapporte : Après la mort du Prophète (SBDSL), Abou Bakr dit à Omar (SDP) : « Partons visiter Om Ayman (SDP). » Quand ils arrivèrent chez elle, elle pleurait et ils dirent : « Pourquoi pleures-tu ? Ce qu'Allah possède est meilleur pour le Messager d'Allah. » Elle répondit : « Par Allah ! Je ne pleure pas parce que je ne sais pas que ce qu'Allah possède est meilleur pour Son Messager, mais je pleure parce que la révélation (coranique et donc divine) du ciel est terminée. » Elle provoqua alors leurs pleurs et ils se mirent à pleurer avec elle.
Les enseignements précédents montrent donc le cœur hypersensible à la profonde dignité authentique, tant apprécié de Dieu. Il s'agit de l'hypersensibilité pieuse faisant pleinement ressentir, reconnaître et/ou refléter l'extraordinaire don divin de l'existence, l'inéluctabilité de la noblesse morale, la grandeur de la Création, la touchante beauté de la nature, le très émouvant moment présent, les valeurs familiales, la forte volonté de bien et de guidée pour autrui, la responsabilité de prévenir ses proches et l'humanité du Jugement Universel à venir et de leur rappeler la réalité éternelle de l'amour en Dieu, la pureté de la fraternité, la nostalgie des proches que nous avons perdus, le temps passant vite alors qu'on ne pourra plus dépenser pour Dieu après notre mort, tous nos regrettables manquements à la bienfaisance, la déception pour toutes les injustices et oppressions dans le monde, la gloire de la religiosité, le bon caractère, l'envie de suivre toujours la meilleure moralité, l'admiration envers l'excellente tradition prophétique, les comportements honorables, la logique du repentir, l'importance du pardon, l'immense miséricorde divine, la certitude de la foi, la sublimité de Dieu, les qualités spirituelles, la valorisation des bienfaits divins, la magnificence des larmes sur les visages nobles, la belle sagesse apportée par la crainte révérencielle envers le Seigneur pouvant nous envoyer colériquement dans les supplices de Son Enfer Éternel, la grande motivation apportée par le superbe espoir envers le Créateur pouvant nous honorer tendrement dans les délices de Son Paradis Éternel, la compréhension qu'Allah est la meilleure réponse possible à l'existence, la fierté donc d'avoir Allah comme Seigneur, et ainsi l'énorme richesse des innombrables enseignements de la vie terrestre par conséquent finalement irréprochable.
Cette grande sensibilité à la noblesse semble si importante pour réussir au niveau moral ou recevoir assurément la satisfaction divine, que le Prophète (SBDSL) a conseillé se de tendre aux pleurs pendant la prière au moins avec le cœur, afin de nous habituer à la profondeur dont dans notre demande de guidée jusqu'au Paradis Éternel pour nous et nos proches. Surtout qu'évidemment, il ne faut pas repousser la possibilité de pleurer pour Dieu et l'excellente noblesse authentique pour que cela puisse arriver.
De plus si l'on considère la grandeur de l'existence liée aux sublimes attributs divins, la beauté des dignes sentiments humains pouvant être ressentis avec une intense sensibilité, et les magnifiques destins émouvants que les humains peuvent écrire jusqu'à la séparation de la mort, on ne peut qu'affirmer que la vie en Dieu est effectivement noble à en pleurer, à s'en s'émerveiller, à en profiter profondément et à en mourir, surtout avec notre possible vision future de la Face de Dieu, notre possible proximité future avec Dieu, les possibles retrouvailles éternelles avec nos proches au Paradis Éternel et la valorisation terrestre de tous les bienfaits divins dont pour intensifier ceux paradisiaques. En effet par beaucoup d'enseignements terrestres valorisant l'excellence du Paradis, Dieu le prépare pour les pieux en réalité minutieusement, et donc soigneusement, et donc sublimement, et donc louablement par excellence. Et nous pouvons donc pleurer aussi d'honneur parce que nous avons reçu une intelligente existence humaine consciente, parce que le sens divin de la vie terrestre est irréprochable, et parce que l'espoir du mieux est infiniment élevé, surtout à travers l'inimaginable félicité et les innombrables trésors du Paradis Éternel. D'ailleurs en plus de valoriser l'irréprochabilité du Paradis Céleste Éternel, la vie terrestre sert aussi à sublimer l'espoir que ce Paradis existe après la mort et donc à intensifier énormément sa réalité.
Ainsi cette divine philosophie islamique irréprochable amène inévitablement le cœur de l'être humain à se résigner dignement, devant la nécessité de certaines douleurs émotionnelles ou sentimentales instructives dans ce sens et dans celui de le faire grandir, tout en le faisant sublimement devenir pieusement hypersensible à l’excellente noblesse morale authentique, rendant pleinement heureux par essence :
(S20v2-4) « Nous n'avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux, si ce n'est qu'un rappel pour celui qui redoute (Allah), (et comme) une révélation sublime émanant de Celui qui a créé la terre et les cieux sublimes. »
(ExtS3v103) « Et cramponnez-vous tous ensemble au “Habl” (câble) d'Allah (à la pieuse et bienfaisante relation avec Allah) »
(S2v256) « Nulle contrainte en religion, car le bon chemin s'est distingué de l'égarement. Donc, quiconque mécroit au rebelle (à l'impiété) tandis qu'il croit en Allah (pieusement) saisit l'anse la plus solide, qui ne peut se briser (par la vérité et la bonne guidée). Et Allah est Audient et Omniscient. »
(S26v2) « Voici les versets du Livre explicite. (Dieu s'adressant au Prophète Mouhamed :) Il se peut que tu te consumes de chagrin parce qu'ils (les gens) ne sont pas croyants ! (Ce qui a été souvent le cas jusqu'aux larmes abondantes, car l'indigne mécréance, infidélité ou impiété plutôt que la très digne relation avec Dieu dans la religion et les bonnes actions sociales est tellement regrettable, surtout qu'il est le seul et ultime Prophète envoyé en tant que miséricorde et donc amour à toute l'humanité directement) »
Commentaire : En effet le souci pour ceux qui n'ont pas la vérité ne peut qu'amener au chagrin (et même à la souffrance intérieure) que les autres ne soient pas guidés en particulier les proches, alors que par leur insouciance, ces derniers ne ressentent même pas cela pour eux-mêmes.
(S31v23) « Celui qui a mécru, que sa mécréance ne t'afflige pas. Vers Nous sera leur retour et Nous les informerons de ce qu'ils faisaient. Allah connaît bien le contenu des poitrines. »
(S36v76) « Que leurs paroles ne t'affligent donc pas ! Nous savons ce qu'ils cachent et ce qu'ils divulguent. »
(S30v60) « Sois donc patient, car la promesse d'Allah (future rencontre avec Lui et plus haut degré du Paradis Éternel si on suit le mode de vie prophétique) est vérité. Et que ceux qui ne croient pas fermement ne t'ébranlent pas ! »
(S20v123) « Allah dit : Descendez d’ici (Adam et Eve), (vous serez) tous (avec vos descendants) ennemis les uns des autres (humains et diables). Puis si jamais un guide (Prophète ou Livre) vient de Ma part, quiconque suit Mon guide ne s’égarera, ni ne sera malheureux. »

Surtout que la sagesse étant le but suprême de l'être humain sur terre, car correspondant à la meilleure valeur, toutes les épreuves y sont logiquement positives, puisqu'il doit comprendre qu'avec de bonnes réactions pieuses, elles servent toutes à l'ennoblir par des gains de dignité et donc à rendre son cœur meilleur par toujours plus de grandeur sensible :
(S2v269) « Il (Dieu) donne la sagesse à qui Il veut. Et celui à qui la sagesse est donnée, vraiment, c'est un bien immense (incomparable) qui lui est donné. Mais les doués d'intelligence seulement s'en souviennent. »
(ExtS77v23)  « et Nous décrétons (tout) de façon parfaite (comme il sera revu). »

La sagesse (vertu qui peut être définie comme la volonté et la force inconditionnelles dans le bien avec un juste milieu) qui est la mère des qualités doit donc choisir pieusement et donc noblement les qualités et les comportements adéquats lors d'une situation, afin de gagner la qualité souveraine qu'est la dignité conforme à l'honneur d'un être conscient. En effet pour prendre un exemple, afin de réussir certaines épreuves, il faut parfois soit de la patience comme lors des premières persécutions contre les musulmans à la Mecque, soit du courage comme lors de la première bataille musulmane contre les infidèles qui fut celle à Badr, tout en comprenant qu'inverser ces deux qualités dans ces deux situations aurait été en revanche de l'indignité pour ces musulmans. Évidemment pour obtenir la dignité dans certaines situations, diverses qualités utilisées séparément ou ensemble sont valables, comme la douceur, la générosité, la convivialité et la piété afin de recevoir des invités, et quand une situation le propose et donc le permet, c'est donc logiquement en utilisant pour Dieu simultanément les bonnes qualités du moment, voire quand on utilise pour Dieu la meilleur du moment, qu'on obtient la dignité suprême.
D'ailleurs une fois qu'on reconnaît que les situations du destin ont une valeur d'excellence, car elles ont été prédestinées par l'Omniscient Créateur Suprêmement Sage pour normalement nous emmener vers les qualités morales, cela confirme que ce ne sont pas le bien ou le mal que nous recevons qui comptent, mais plutôt nos sages réactions utilisant pieusement et donc noblement les qualités adéquates face aux épreuves et aux diverses situations, puisqu'elles permettent donc d'atteindre la valeur maximale et donc la position suprême qu'est la dignité conforme à l'honneur d'un être conscient. Et nous pouvons donc être dans une permanente idée de meilleures situations, puisque le cheminement enthousiaste rempli de joyaux précieux rapprochants d'Allah et de Son Firdaws que nous pouvons constamment accumuler est celui de la pratique des meilleures qualités morales cachées derrière chaque épreuve ou moment, comme dans une chasse aux trésors, et non pas l'acquisition monotone de toujours plus de matériel. En effet la vie est une question de qualité morale et pas de quantité matérielle :

(S21v35) « Toute âme doit goûter la mort. Nous vous éprouverons par le mal et par le bien (à titre) de tentation (pour vous proposer les qualités morales). Et c'est à Nous que vous serez ramenés. »
Selon Abou Houreyra, le Prophète (SBDSL) a dit : « Un homme passa devant la branche d’un arbre qui barrait la route aux passants. Il se dit : « Par Dieu, je vais enlever cette branche pour qu’elle ne nuise plus aux musulmans ». Il fut introduit pour cela au Paradis. » (Mouslim)
Selon Souhayb Ibn Sinan (SDP), le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Le croyant a une destinée étonnante ! Tout ce qui lui advient est bénéfique (par l'acquisition de la dignité), et cela n'est réservé qu'à lui seul ! En effet s'il est l'objet d'un événement heureux, il remercie Dieu (car il s'agit de la qualité principale à comprendre et gagner dans cette situation comme Dieu est reconnaissant pour nos bonnes œuvres) et c'est là pour lui une bonne chose. Et s'il est victime d'un événement malheureux, il l'endure avec patience (car il s'agit de la qualité principale à comprendre et gagner dans cette situation comme Dieu patiente sur nos erreurs) et c'est là encore pour lui une bonne chose. » (Mouslim)
Commentaire : Ce qui sous-entend que le musulman peut s'ennoblir dans toute circonstance, surtout que l'adoration permanente et donc la meilleure valeur et donc le remerciement continu envers Dieu sont en plus possibles avec la tradition prophétique, d'où aussi la logique noblesse suprême de sublimer Dieu automatiquement au Paradis Éternel par la respiration dans une forme d'adoration permanente, surtout que ce lieu excellent et cette sublimation automatique sont de l'adoration permanente.
En sachant que la tradition de la répétition glorificatrice de l'unicité divine « la ilaha il Allah (il n'y a pas de divinité à part Allah) » dès que c'est possible va aussi dans ce sens de cette respiration glorificatrice.
Ibn Aasekir rapporte : Omar (SDP) a dit : « Si on me présentait deux montures, une de patience en Dieu et l'autre de reconnaissance en Dieu, peu m'importerait laquelle je monte. »
Commentaire : La patience (face au malheur, à la difficulté) et la reconnaissance (pour du bonheur, de la facilité) sont les principales qualités valorisant le Paradis, mais la patience discerne plus l'appréciation de bienfaits, surtout après les avoir connus et remerciés. Ibrahim rapporte : Omar (SDP) entendit un homme dire : « Ô Allah ! Je demande que toute ma personne et mes biens soient dépensés dans ta voie ! » Omar dit (dans le sens de tendre pieusement au juste milieu au niveau du remerciement en Dieu et de la patience en Dieu, car sans plus rien on ne peut remercier Dieu) : « Mais ne pouvez-vous pas vous taire. ?... Patienter quand vous êtes éprouvés et remercier quand vous êtes saufs. »
(ExtS2v216) « Or, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose (épreuve) alors qu’elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose (dont plaisir impie mauvais pour la santé) alors qu’elle vous est mauvaise. C’est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas. »
(S22v11) « Il en est parmi les gens qui adorent Allah marginalement. S'il leur arrive un bien, ils s'en tranquillisent, et s'il leur arrive une épreuve, ils détournent leur visage (de Dieu, au lieu de trouver la qualité adéquate en Son nom pour résoudre positivement la situation), perdant ainsi (le bien) de l'ici-bas et de l'au-delà (pas de bonne rétribution). Telle est la perte évidente ! »

Dans ce sens comme l'a dit Bilal (SDP), le compagnon d'origine abyssinienne du Prophète (SBDSL) quand il était esclave, il est évident que la vie présente ne pouvait être parfaite, sinon les gens n'auraient pas eu besoin dignement les uns des autres (en particulier ceux égarés, isolés, faibles) ni pu connaître la dignité du cadre légal et moral monothéiste, ni pu tendre vers la dignité du meilleur compromis dans leurs intérêts respectifs. C'est à dire qu'il fallait logiquement des problèmes sur terre pour que les gens puissent tendre volontaire à la valeur suprême qu'est l'ennoblissement maximal puisque similairement à Dieu, c'est à dire tendre pieusement à gérer au mieux toutes les qualités morales portant la dignité dont celles humaines, tels l'humilité, la patience, la justice, la bienveillance, le courage, le pardon, le partage, la générosité, la douceur, et la miséricorde. En effet le Paradis étant parfait physiquement, matériellement et spirituellement, le choix personnel vers la plupart des qualités morales y est impossible, sauf concernant le remerciement à Dieu par exemple, quoique le bonheur du Paradis est tellement grand que cela en devient naturel. Surtout qu'il doit aussi y avoir des problèmes sur terre pour faire vivre des professions tels les garagistes, les médecins, les plombiers, les électriciens et les réparateurs en tout genre, et donc pour préserver la société humaine. C'est à dire que Dieu est obligé de créer des maux matériels pour proposer la meilleure noblesse morale et valoriser voire faire comprendre Ses bienfaits et Son Paradis irréprochable :
(S21v35) « Toute âme doit goûter la mort. Nous vous éprouverons par le mal et par le bien (à titre) de tentation (pour vous proposer les qualités morales). Et c'est à Nous que vous serez ramenés. »
(S2v155) « Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim, et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants (dans les qualités morales, la piété, la religion et la bienfaisance sociale) qui disent : “Certes nous sommes à Allah et c’est à Lui que nous retournerons.” Ceux là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde, et ceux-là sont les biens guidés. »

(S89v15-20) « Quant à l'homme, lorsque son Seigneur l'éprouve en l'honorant et en le comblant de bienfaits, il dit : “Mon Seigneur m'a honoré.” Mais par contre, quand Il l'éprouve en lui restreignant sa subsistance, il dit : “Mon Seigneur m'a avili.” Mais non ! C'est vous plutôt qui (indignement) n'êtes pas généreux envers les orphelins, ne vous incitez pas mutuellement à nourrir le pauvre, dévorez l'héritage avec une avidité vorace, et aimez les richesses d'un amour sans borne. »
Évangile (1 Thessaloniciens, 5:14) « Reprenez les désordonnés, encouragez les craintifs (ou consolez ceux qui sont abattus), soutenez les faibles, ayez de la patience envers tous. »
En sachant qu'avec l'ennoblissement maximal de l'humanité à travers sa compréhension et son suivi de la révélation religieuse principale accomplie, la bénédiction matérielle divine sur l'humanité pourrait aller jusqu'à des récoltes massives, la guérison de nombreuses maladies, l'automatisation de beaucoup de secteurs, et un revenu universel moyen pour ceux n'ayant pas de travail et un revenu élevé pour ceux ayant du travail.
Ainsi la vie terrestre par rapport au Paradis Éternel peut être comparée à un nourrisson devant une voiture, puisque tant qu'il n'aura pas connu les valeurs du temps, des distances, de la fatigue, des choses lourdes à transporter et de la vie en société, il ne réalisera pas la réelle valeur d'une voiture. C'est à dire que sans avoir connu la mort, la vieillesse, la souffrance, les sentiments immoraux et les difficultés matérielles, l'être humain n'aurait pu réaliser pleinement les sublimes valeurs paradisiaques de l'immortalité, de la jeunesse éternelle, de la joie permanente, de la noblesse constante et des souhaits réalisés à volonté, ni par conséquent réaliser très profondément l'identité extraordinaire, irréprochable et sublime de Dieu avant de Le rencontrer. D'ailleurs comme découvrir et comprendre progressivement l’identité de Dieu derrière Sa Création est une des raisons principales du passage de l'humanité sur terre voire la raison principale plus que nos œuvres, c'est aussi pour ça que Dieu sera Très Miséricordieux lors du Jugement Dernier. Surtout que dans ce sens par divers aspects de sa nature, l'être humain représente les 99 attributs divins.
C'est pourquoi il peut être admis qu'une personne demeure un enfant mal élevé et ne devient pas vraiment un homme, une femme, un adulte, tant qu'elle n'admet pas que Dieu l’éduque. En effet les insouciants et infidèles, ne devenant donc pas véritablement des adultes tant qu'ils ne reconnaissent pas que Dieu les éduque, sont comparables à des enfants ingrats en particulier car étant ignorants, ou à des personnes immatures s'amusant aveuglément avec des jouets ne leur appartenant pas sans même un remerciement jusqu'à leur mort, car ça sera probablement une des images qu'ils verront de leurs âmes dans le miroir du Jugement Dernier. D'ailleurs selon un hadith décrivant le passage des âmes par le monde de la tombe dans lequel un individu apparaît pour nous tenir compagnie jusqu'à l'heure du Jugement Dernier, cette idée est sous-entendue beaucoup plus fortement par la matérialisation des mauvaises actions d'un criminel en particulier athée en une personne laide, sale, puante, et repoussante, plutôt que par la matérialisation des bonnes actions d'un vertueux en une personne belle, propre, parfumée et attirante :
(ExtS57v20) « Sachez que la vie présente (sans foi ni bonnes actions pour l'au-delà) n’est (particulièrement donc pour les matérialistes athées) que jeu, amusement, vaine parure, une course à l’orgueil entre vous et une rivalité dans l’acquisition des richesses et des enfants. Elle est en cela pareille à une pluie : la végétation qui en vient émerveille les cultivateurs, puis elle se fane (telle la vieillesse) et tu la vois donc jaunie, (jusqu'à qu')ensuite elle devient des débris (telle la mort). »
(S35v5) « Ô hommes ! La promesse d'Allah est vérité. Ne laissez pas la vie présente vous tromper, et que le grand trompeur (Satan) ne vous trompe pas (vers l'insouciance ou l'infidélité) à propos d'Allah. »

D'ailleurs ce n'est que par la piété qu'on ne peut voir dans la vie que du digne enseignement moral, des épreuves excellentes ou/et des nobles solutions et pas des problèmes, surtout si on parvient à sourire même devant un problème, puisque sourire tire la corde qu'est notre fitra vers le haut en la faisant donc produire de la grande sagesse intérieure :
(S32v6/7) « C'est Lui (Dieu) le Connaisseur (des mondes) inconnus et visibles, le Puissant, le Miséricordieux, qui a bien fait tout ce qu'Il a créé. »
(ExtS77v23)  « et Nous décrétons (tout) de façon parfaite. »

Par conséquent, il est agréable de sentir et saisir les mots autour de moi pour essayer d'en faire des émeraudes de sensibilité, des saphirs de bienveillance, des rubis d'amour, des perles de justice et des diamants de noblesse, afin je l'espère d'offrir toutes ces dignes joyaux à la sagesse de nos âmes et de remplir le coffret de notre bonheur. Puis afin que dans le grandiose théâtre spirituel terrestre, ce bonheur collectif devienne un chef d’œuvre de bons comportements, une symphonie de bonnes paroles, une épopée existentielle, une exaltation théologique, une page céleste, un feu d'artifice d'excellence et donc une sublime fête morale, plus impressionnants que les sports extrêmes pratiqués.
Les nobles sentiments sont nombreux et divers, mais le meilleur état d’esprit semble de se résigner sagement au destin de Dieu en ayant le cœur pieusement honoré, enthousiaste, émerveillé et donc heureux de découvrir cette vaste connaissance de vie, de science, de philosophie, de morale, de droit, de devoir, de grandeur, de foi, d'amour, de religion, de piété, de noblesse, de bonté, de partage, de service, de générosité, de dévouement, de dignité, de crainte révérencielle, d’espoir, de préoccupation pour les ignorants et d'abandon dans la bienfaisance monothéiste et sociale pacifique et si nécessaire combattante. Surtout que tout cela permet de se rapprocher de l'assurance de l'Esprit Divin, et donc de tendre à augmenter et exprimer au mieux nos sentiments, paroles et actions bons, et donc de représenter excellemment notre irréprochable Seigneur, et donc de recevoir l'amour divin satisfait, et donc d'aller au plus haut niveau du Paradis Éternel, et donc de se rapprocher du Trône divin et ainsi de Dieu, et donc de devenir l'ami et le voisin intimes de Dieu :
(S92v12/13) « C'est à Nous certes, de guider, à Nous appartient certes, la vie dernière et la vie présente. »
(S30v60) « Sois donc patient, car la promesse d'Allah (future rencontre avec Lui et plus haut degré du Paradis Éternel si on suit le mode de vie prophétique) est vérité. Et que ceux qui ne croient pas fermement ne t'ébranlent pas ! »
(S20v2-4) « Nous n’avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux, si ce n’est qu’un rappel pour celui qui redoute (Allah), (et comme) une révélation (sublime) émanant de Celui qui a créé la terre et les cieux sublimes. »

(ExtHadith) Selon Abou Hourayra (SDP), le Prophète a (SBDSL) dit : « Suivez plutôt la voie sage du juste milieu, rapprochez-vous en douceur de la perfection (du mode de vie prophétique) et soyez optimistes. »
« Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles mais uniquement par manque d’émerveillement. » (Gilbert Keith Chesterton : 1874-1935) Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo « Vincent Munier, éternel émerveillé » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=lUJQRMeYFqM&t=1239s)
(S9v111) « Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis. Ils combattent dans le sentier d’Allah : ils tuent et ils se font tuer. C’est une promesse authentique qu’Il a prise sur Lui-même dans la Thora, l’Évangile et le Coran. Et qui est plus fidèle qu’Allah à son engagement ? Réjouissez-vous donc de l’échange que vous avez fait. Et c’est là l’énorme succès. »
(S16v127/128) « Endure ! Ton endurance (ne viendra) qu’avec (l’aide) d’Allah. Ne t’afflige pas pour eux (les infidèles). Et ne sois pas angoissé à cause de leurs complots. Certes, Allah est avec ceux qui (L'ont) craint avec piété et ceux qui sont bienfaisants. »
(S33v45-48) « Ô Prophète ! Nous t'avons envoyé (pour être) témoin, annonciateur, avertisseur, appelant (les gens) à Allah par Sa permission, et comme une lampe éclairante (guidante et exemplaire). Et fait aux croyants (qui te suivent) la bonne annonce qu'ils recevront d'Allah une grande grâce (dont considération divine, noblesse haute, joie profonde et Paradis Éternel). Et n'obéis pas aux infidèles et aux hypocrites, ne prête pas attention à leur méchanceté et place ta confiance en Allah et Allah suffit comme protecteur. »
(S33v53) « Puis, quand vous aurez mangé (chez le Prophète), dispersez-vous, sans chercher à vous rendre familiers pour causer. Cela faisait de la peine au Prophète, mais il se gênait de vous (congédier), alors qu'Allah ne se gêne pas de la vérité (par une assurance sage expliquant la noblesse de cette politesse envers le Prophète et chez certains hôtes). »

Le croyant peut donc se relâcher et souvent s'abandonner dans le calme bonheur simple mais profond du cœur pieux constamment sensible, bienveillant et religieux. Surtout qu'en restant malheureux on ne voit, ni donc comprend ni donc vit, la noblesse de nombreux aspects, vérités, enseignements et choses présents sur terre :
(S31v2-5) « Voici les versets du Livre (Coran) plein de sagesse, c'est un guide et une miséricorde aux bienfaisants, qui accomplissent la Salat, acquittent le Zakat et croient avec certitude en l'au-delà. Ceux-là sont sur le chemin droit de leur Seigneur et ce sont eux les bienheureux. »
Commentaire : Le passage coranique précédent n'évoquant pas le Ramadan, il s'agit apparemment de la piété minimale à suivre pour être heureux.
Ainsi avec la maturité de la douceur d'une âme dans la vieillesse, il faut percevoir la grâce dans les grâces même matérielles d'Allah pour apprécier clairement la valeur de Ses bienfaits, dont la religion anoblissante est le plus important. Et tant que ça ne nuit pas à autrui tout en louant Dieu pour cela, on ne doit donc pas hésiter à profiter joyeusement des biens terrestres avec notre famille et nos proches même en se relaxant, mangeant, se promenant, pratiquant divers loisirs et regardant certains divertissements. Mais il faut donc vivre primordialement la religion avec eux, puisqu'elle détient la plus grande valeur et est synonyme du plus haut niveau de Paradis de même donc que de fréquentes contemplations sublimes de la Face divine.
Proverbe : « Tout vient à point à qui sait attendre. »
Or par sa capacité de nous envoyer des mauvaises pensées, le Diable veut nous empêcher d'être heureux de vivre en nous faisant craindre la pauvreté et donc l'existence, alors que Dieu nous invite au bonheur en nous rappelant la valeur excellente des qualités morales, en grandissant Sa miséricorde gracieuse et en nous faisant valoriser Son Paradis Éternel Irréprochable :
(S2v267-269) « Ô les croyants ! Dépensez (en aumône) des meilleures choses que vous avez gagnées et des récoltes que Nous avons fait sortir de la terre pour vous. Et ne vous tournez pas vers ce qui est vil pour en faire dépense. Ne donnez pas ce que vous-mêmes n'accepteriez qu'en fermant les yeux ! Et sachez qu'Allah n'a besoin de rien et qu'Il est Digne de louanges. Le Diable vous fait craindre l'indigence et vous recommande des actions honteuses, tandis qu'Allah vous promet pardon et faveur venant de Lui (dont le Paradis). La grâce d'Allah est immense et Il est Omniscient. Il donne la sagesse à qui Il veut. Et celui à qui la sagesse (synonyme de bonheur) est donnée, vraiment, c'est un bien immense qui lui est donné (et même incomparable par la subtilité divine). Mais les doués d'intelligence (intelligence : chemin de la justice et de la noblesse) seulement s'en souviennent. »
(S17v63-65) « Et Allah dit (à Satan) : Va-t’en ! Quiconque te suivra… votre sanction sera l’Enfer, une ample rétribution. Excite par ta voix ceux d’entre eux que tu pourras, rassemble contre eux ta cavalerie et ton infanterie, associe-toi à eux dans leurs biens et leurs enfants, et fais-leur des promesses. Or le Diable ne leur fait des promesses qu’en tromperie. Quant à Mes serviteurs, tu n’as aucun pouvoir sur eux. Et ton Seigneur suffit pour les protéger ! »

De plus dans la relation sociale, il semble important de suivre le conseil suivant d'Omar Ibn Al-Khattab (SDP) le deuxième calife de l'islam : « J'aime que l'homme soit tel un enfant avec les siens, et tel un homme quand on a besoin de lui. » En effet, la simplicité heureuse et l'enthousiasme des enfants d'une part, et la grandeur serviable et le sérieux des adultes sont parmi les meilleurs atouts pour réussir notre vie :
Ali Ibn Abou Talib (SDP) raconte : Tous les émigrants que je connais sont partis en cachette sauf Omar Ibn Alkhattab (SDP). Quand il voulut émigrer, il attacha son sabre à son ceinturon, mit son arc sur son épaule et prit ses flèches dans sa main. Puis il partit à la Kaaba, tandis que les notables idolâtres persécuteurs de Qouraych étaient en plusieurs cercles autour d'elle. En tant que monothéiste, il tourna pourtant devant eux sept fois autour de la Kaaba et pria deux rakaat à l'emplacement d'Ibrahim. Ensuite il alla à leurs cercles un par un et dit à chaque fois : « Que vos visages soient enlaidis ! Quiconque veut que sa mère le pleure, que ses enfants deviennent orphelins et sa femme veuve, qu'il me rencontre derrière cette route (hors de la terre sacrée). » Aucun d'eux ne le suivit.
Ainsi nous pouvons apprécier tous les bienfaits divins avec les yeux pétillants d'un enfant ouvrant de magnifiques cadeaux devant un merveilleux sapin de noël. D'ailleurs il est clairement possible de reconnaître la bienfaisante sagesse divine à travers les nobles sentiments, les précieuses relations familiales, l’aspect pratique du corps humain, les beaux vêtements, les loisirs, la nature, les agréables parfums et les bonnes saveurs des aliments licites que nous aimons consommer.
Dans ce sens, la bonne nourriture qui permet de nous faire subsister et qui symbolise donc principalement le maintien permanent de la Création par la puissance créatrice divine prouve même que Dieu crée tout en permanence avec sagesse.
Avant d'être musulman, Omar Ibn Al-Khattab (SDP) avait aussi dit que si l'intégrité et la bonne moralité pouvaient être une religion, il s'y convertirait. Par conséquent il avait vu juste, puisqu'il s'est converti à l'excellente éthique de l'islam demandant les évidents droits et devoirs inhérents à une société humaine et invitant à la meilleure noblesse comportementale. L'éthique, c'est être en fonction des situations juste, bienveillant, bienfaisant, généreux ou altruiste raisonnablement, à travers une personnalité douce, élégante, pudique, courtoise, courageuse et persévérante.
Par ailleurs Allah est la solution à tous les problèmes quand nous agissons et L'invoquons intelligemment, car même si rarement Son omnisciente bienveillance mondiale ne nous aide pas à en résoudre certains, Il nous amène au moins à une résignation, une compréhension ou un pardon apaisants.
En effet même si des aspects nobles de la vie semblent parfois difficiles, lorsqu'on la regarde sous l'angle de son aspect éphémère et de la valeur suprême proposée qu'est la pieuse dignité, la facilité peut finalement prendre le dessus. Surtout qu'au départ, certaines choses sont parfois difficilement apprises avant de devenir facilement pratiquées. Dans ce sens, le bonheur ne s'achète pas, il se cultive à l'intérieur de soi. Et heureusement que c'est par la juste grâce égalitaire de Dieu envers tout être humain, que le bonheur ne s'achète pas, dont car légitimement sur terre, il mérite d'être principalement une somme de bons petits moments, en particulier ceux passés avec nos proches, dans les bienfaits divins, au sein des œuvres cultuelles, dans la vie privé, dans la piété, dans le contentement du peu, ou à travers la bienfaisance sociale :

(ExtS2v216) « Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors qu'elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu'elle vous est mauvaise. »
(S94v5/6) « A côté de la difficulté est certes une facilité ! A côté de la difficulté est certes une facilité ! (ou, « A travers la difficulté vient la facilité ! A travers la difficulté vient la facilité ») ! »
Aslem rapporte : Abou Ooubeyda écrivit à Omar, (SDP) et lui évoqua les masses byzantines en lui faisant part de ses craintes. Omar lui écrivit (en faisant allusion aux versets (S94v5/6) « A côté de la difficulté est certes, une facilité. A côté de la difficulté est certes, une facilité » : « Toute difficulté qui atteint le serviteur croyant, Allah mettra après elle un soulagement, et une difficulté ne vaincra pas deux facilités. »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « La religion est facile à pratiquer. Quiconque s’impose de la pratiquer de manière extrême se verra terrassé par elle. Efforcez-vous de suivre le droit chemin de manière parfaite, sinon, faites votre possible et espérez la récompense divine. Adorez Allah en cheminant vers Lui le matin, le soir et une partie de la nuit. » (Boukhari, livre de la foi : 39)
Le Prophète (SBDSL) a dit : « Laissez moi tant que moi-même je vous laisse, car ceux qui étaient avant vous ont péri (par trop de précision religieuse) à cause de leurs questions (trop nombreuses) et de leur opposition à leurs Prophètes. Quand je vous interdis quelque chose, abandonnez-le totalement, et quand je vous ordonne quelque chose, faites-en ce que vous pouvez. » (Boukhari)
Selon Anas (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Facilitez et ne rendez pas la tâche pénible, annoncez la bonne nouvelle et ne faites pas fuir les gens. » (Boukhari et Mouslim)

Aïcha (SDP) rapporte : « Chaque fois que le Prophète (SBDSL) était face à une alternative, il choisissait toujours la solution la plus simple (facile) tant qu'elle ne constituait pas un péché (ce qui signifie que la recherche du confort raisonnable est valide). Mais si c'était un péché, il en était le plus éloigné des hommes. Le Prophète ne s'est jamais vengé pour lui-même, sauf si les interdits divins étaient bafoués. Dans ce dernier cas, il se vengeait pour Dieu le Très-Haut. » (Boukhari et Mouslim)
Ibn Omar (SDP) rapporte que le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Le croyant ne doit pas s'humilier (lui-même face au destin par trop de zèle ou d'inconséquence). » J'ai demandé : « Ô Messager d'Allah ! Comment s'humilierait-il ? » Il dit : « Il s'expose à des épreuves qu'il ne peut supporter (dont la trop grande richesse). »
Selon Raja Ibn Abou Raja, le Prophète (SBDSL) lui dit : « La meilleure façon de pratiquer votre religion est la plus facile, la meilleure façon de pratiquer votre religion est la plus facile, la meilleure façon de pratiquer votre religion est la plus facile. »

Commentaire : Ce hadith évoque probablement la facilité d'obtenir la tradition prophétique complète très progressivement si nécessaire, dont pour éviter la frustration et seulement avancer avec joie, fierté et honneur.
Selon Oubaydullah Al Ansari (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Celui qui, parvenu au matin, se sent en sécurité parmi les siens, en bonne santé et possède de quoi subsister la journée, c'est comme si on avait rassemblé pour lui ce monde et ce qu'il contient. » (Tirmidhi)
Selon Abdullah Ibn Amr Ibn Al As (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « A vraiment réussi celui qui a embrassé l'islam, s'est contenté du nécessaire dans sa subsistance et à qui Dieu a inspiré la satisfaction de ce qu'il lui a octroyé. » (Mouslim)
Mohammad Fadala Ibn Oubayd Al Ansari (SDP) rapporte qu'il a entendu dire le Messager de Dieu : « Bienheureux celui qui a été guidé à l'islam, dont la subsistance se limite à ses besoins et qui se contente de ce que Dieu lui a donné. » (Tirmidhi)
Selon Abou Houreyra (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Que périsse l'esclave du dinar et du dirham, du velours et de la soie : si on lui donne, il s'en satisfait, mais si on l'en prive, il se montre mécontent. » (Boukhari)

(S6v125) « Et puis quiconque Allah veut guider, Il lui ouvre la poitrine à l’islam (ce qui facilite sa vie). Et quiconque Il veut égarer, Il rend sa poitrine étroite et gênée, comme s’il s’efforçait de monter au ciel (manque d'oxygène). »
(S92v4-11) « Vos efforts sont divergents. Celui qui donne (des aumônes) et craint (Allah) et déclare véridique la plus belle récompense (le Paradis) Nous lui faciliterons la voie au plus grand bonheur (déjà ici-bas). Et quand à celui qui est avare, se dispense (de l'adoration d'Allah), et traite de mensonge la plus belle récompense, Nous lui faciliterons la voie à la plus grande difficulté (déjà ici-bas par insatisfaction ou seulement dans l'au-delà puis en Enfer suite à une insouciante perversité), et à rien ne lui serviront ses richesses quand il sera jeté (au Feu). »
(S16v97) « Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne
œuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie (déjà ici-bas). Et Nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions. »
(S87v8) « Nous te mettrons sur la voie la plus facile. »

Et si nous ne parvenons pas à ressentir certains passages de l'existence avec facilité dont en se résignant parfois difficilement au destin, il faut se rappeler le sentiment de Dieu à notre égard pendant ces moments :
(ExtS2v207) « Et Allah est Compatissant envers Ses serviteurs. »
(S42v19) « Allah est Doux envers Ses serviteurs. Il attribue (Ses biens) à qui Il veut. Et c'est Lui le Fort, le Puissant. »

D'ailleurs quand on voit toutes les nobles réalités et bonnes subtilités humaines souvent humoristiques que Dieu laisse s'écrire par Son autorité, on pourrait presque dire que Dieu est plus humain que nous.
Or pour maintenir notre cœur dans la facilité de la décontraction même si certains sentiments ou émotions sont forts ou difficiles, il faut ressentir fréquemment notre foi, nos certitudes, notre confiance, notre force, notre dignité, notre piété et notre assurance en Dieu, tout en se rappelant les regards de noble espérance simple que nous avions pour notre destin et le monde lors de notre enfance humble par essence et donc satisfaite du peu en réalité. En sachant que la tradition prophétique quotidienne amène à cela :
(S2v153) « Ô les croyants ! Cherchez secours dans l’endurance et la Salât, car Allah est avec ceux qui sont endurants. »
Par conséquent, nous ne devons pas rester dans nos doutes, nos peurs et notre incapacité, mais sur nos certitudes, nos atouts et notre amélioration.
Dans ce sens, ma soumission à Dieu vient d’abord de ma compréhension et de mon amour concernant Ses toujours irréprochables décisions justes ou miséricordieuses liées à Son omniscience, qui démontrent Sa sainteté et Sa suprême dignité permanentes. Or si ces raisons sont insuffisantes pour me soumettre complètement à Lui et Ses glorieuses voies du Bien, et donc pratiquer correctement la religion, ennoblir mon caractère, tendre à la meilleure moralité, soigner mon comportement, augmenter les bonnes actions et éviter les mauvaises, je place la crainte révérencielle voire terrifiée avant ces causes. En effet, je veux être parmi ceux qui auront la meilleure mention à l'examen de l’inévitable noblesse morale qui découle de Dieu, l'Excellent Philosophe ayant de nombreux attributs et la capacité de partager l'existence.
De ce fait l'être humain peut devenir un avocat et un chevalier de Dieu, en particulier en devenant un prédicateur défendant fréquemment Sa dignité, et celles de Son dernier message, de Son ultime Prophète (SBDSL), d'être musulman, de la paix et de la bienfaisance. Surtout que Ses livres et Sa religion révélées sont un digne guide pour s'ennoblir par la piété, avoir des précisions sur Son identité, marcher dans la sagesse d'un cadre légal juste, sublimer les qualités morales, aimer la famille, respecter autrui, motiver à la meilleure miséricorde quand c'est possible, inviter à la générosité, dépenser pieusement, défendre les faibles, valoriser le Paradis, et ainsi se rapprocher de Dieu :
(ExtS9v40) « Si vous ne lui (Prophète ou religion) portez pas secours... Allah l'a déjà secouru »
(S75v36) « L'homme pense-t-il qu'on le laissera sans obligation (cadre légal juste, éprouvant et pieusement fortifiant, devoirs familiaux, bon chemin à suivre) à observer ? »
(ExtS22v67) « Et appelle à ton Seigneur (et donc vers l'islam). Tu es certes sur une voie droite. »
(ExtS22v40/41) « Allah soutient, certes, ceux qui soutiennent (Sa religion et les faibles). Allah est assurément Fort et Puissant, (pour) ceux qui, si Nous leur donnons la puissance sur terre, accomplissent la Salat, acquittent la Zakat, ordonnent le convenable et interdisent le blâmable. »
(S34v6) « Et ceux à qui le savoir a été donné voient que ce qu'on t'a fait descendre de la part de ton Seigneur est la vérité qui guide au chemin du Tout Puissant, du Digne de Louange. »
En sachant que les qualités du chevalier sont le courage, la loyauté, la générosité, l'honneur (véridique, juste), la courtoisie, la justice et l'humilité, et qu'il doit en plus vivre dans ce monde avec le détachement nécessaire qui convient, en n’étant pas dupe, et encore moins victime, du conditionnement cérébral qu’il nous impose.
Le serment du chevalier : « Sois sans peur face à tes ennemis. Sois brave et droit pour être aimé de Dieu. Dis toujours la vérité, même si ça doit te coûter la vie. Sauvegarde les faibles, et garde-toi du mal. Tel est ton serment. Et ceci (une gifle) pour ne pas l’oublier. Debout (de ta position à genoux), chevalier ! »
Ainsi même si parfois par adaptation au contexte, il y a dans les trois dernières religions monothéistes quelques différences dans la manière d'honorer le Créateur et la vie collective, dont au niveau des lois sociales et de la fréquence ou de la pratique de certains œuvres cultuelles, les piliers principaux sont identiques : attestation de l’unicité divine et de la mission du prophète de l'époque, prière, jeûne, impôt et pèlerinage. L'islam qui correspond à ces cinq piliers a donc bien été transmis par tous les Prophètes. Il faut noter que ces cinq piliers résument le cadre moral général du monothéisme authentique, et que les pratiquer correspond au premier degré de la satisfaction divine, dont car étant probablement le minimum pour entrer au Paradis plus par bénédiction divine que par miséricorde divine, puisque le Prophète (SBDSL) a annoncé à ses compagnons qu'un homme, qui lui avait juré qu'il ne pratiquerait que ces cinq piliers obligatoires suite à sa conversion à l'islam, était promis au Paradis.Par l’envoi de Prophètes successifs et la création de miracles, Dieu ravivait aussi nécessairement la foi en confirmant les messages précédents, rétablissant la vérité sur des textes religieux falsifiés (jusqu'au Coran puisque il est le seul livre révélé divinement infalsifiable comme il sera expliqué plus tard), ramenant la justice sociale, diversifiant les preuves historiques de la présence divine, éprouvant noblement les croyants et réparant leur division suite des des interprétations divergentes avec le temps, puisque le Prophète précédent annonçait toujours le Prophète suivant. De plus cela servait donc à adapter parfois quelques lois bienfaisantes en fonction de la connaissance, du niveau de science, du contexte historique, du nombre de personnes, du niveau d'oubli ou de perversion des lois religieuses, et du comportement général des différents peuples.

Ainsi tout en éprouvant la foi, la piété et le niveau moral des diverses populations, les Messagers se suivant ont été souvent des mises à jour de la religion unique depuis Adam et les Prophètes ont été des rappeleurs. En effet les lois conjugales transmises à Adam et Eve ont été complétées par celles transmises pour leur relation avec leurs enfants, puis la relation au sein d'une famille, et puis la relation au niveau tribal, régional, national et mondial, qui elles-mêmes ont parfois été légèrement modifiées pour une question d'équilibre social. En fait l'inévitable révélation progressive des lois divines à l'ensemble de l'humanité se terminant par le Prophète (SBDSL) peut être comparée à l'éducation progressive d'un enfant, ou à l'organisation progressive du code de la route en fonction de l'évolution des voitures, du comportement général des conducteurs et du nombre d’utilisateurs. D'ailleurs respecter les bonnes règles morales et donc religieuses doit être aussi naturel que de suivre le code route :
(S3v81) « Et lorsque Allah prit cet engagement des Prophètes : « Chaque fois que Je vous accorderai un Livre et de la Sagesse, et qu’ensuite un Messager vous viendra confirmer ce qui est avec vous, vous devrez croire en lui, et vous devrez lui porter secours. » Il leur dit : « Consentez-vous et acceptez-vous Mon pacte à cette condition ? » « Nous consentons. », dirent-ils. « Soyez en donc témoins, et Me voici avec vous parmi les témoins. », dit Allah. »
(S33v7/8) « Lorsque Nous prîmes des Prophètes leur engagement, de même que de toi, de Noé, d'Abraham, de Moïse, et de Jésus fils de Marie, et Nous avons pris d'eux un engagement solennel, (ce fut) afin (qu'Allah) interroge les véridiques sur leur sincérité. Et Il a préparé aux infidèles un châtiment douloureux. »
(S2v213) « Les gens formaient (à l'origine) une seule communauté (croyante, religieuse). Puis, (après leurs divergences,) Allah envoya des Prophètes comme annonciateurs et avertisseurs (pour rétablir des vérités morales ou adapter ou compléter la religion, ce qui entraîna inévitablement du sectarisme entre ceux qui les suivaient ou ne les suivaient pas, puis entre les diverses interprétations de ceux qui les suivaient) ; et (car) Il fit descendre avec eux le Livre (Bible et Coran) contenant la vérité, pour régler parmi les gens leurs divergences. Mais, ce sont ceux-là mêmes à qui il avait été apporté après que les preuves leur furent venues, qui se mirent à en disputer par esprit de rivalité ! Puis Allah, de par Sa Grâce, guida ceux qui crurent vers cette Vérité sur laquelle les autres disputaient. Et Allah guide qui Il veut vers le chemin droit. »
(S11v118) « Et si ton Seigneur avait voulu, Il aurait fait des gens une seule communauté. Or, ils (les hommes) ne cessent d'être en désaccord (entre eux et deviennent des sectes séparées) »
(ExtS13v11) « En vérité, Allah ne modifie point l'état (la stabilité, ou la désorganisation) d'un peuple, tant que les (individus qui le composent) ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes (les règles religieuses, ou leurs règles impies). »
(ExtS25v18) « au point qu'ils en ont oublié le Livre du rappel (Coran). Et ils ont été des gens perdus. »
(S46v27) « Nous avons assurément fait périr les cités autour de vous, et Nous avons diversifié les signes afin qu'ils reviennent (de leur mécréance). »
(S3v19) « Certes, la religion acceptée d'Allah, c'est l'islam. Ceux auxquels le Livre (un Livre divin) a été apporté ne se sont (généralement) disputés (ou divisés), par agressivité entre eux, qu'après avoir reçu la science. Et quiconque ne croit pas aux signes d'Allah... alors Allah est prompt à demander compte ! »
(S30v30) « Dirige tout ton être vers la religion exclusivement (pour Allah), telle est la nature qu'Allah a originellement donnée aux hommes - pas de changement à la création d'Allah -. Voilà la religion de droiture, mais la plupart des gens ne savent pas. Revenez repentants vers Lui, craignez-Le, accomplissez la Salat et ne soyez pas parmi les associateurs »
(S33v62) « Telle était la loi établie par Allah envers ceux qui ont vécu auparavant et tu ne trouveras pas de changement dans la loi d'Allah. »
(S98v5) « Il ne leur a été commandé, cependant, que d'adorer Allah, Lui vouant un culte exclusif, d'accomplir la Salat et d'acquitter la Zakat. Et voilà la religion de droiture. »
(S42v13) « Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu'Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t'avons révélé (mode de vie du Prophète Mouhamed), ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus : “établissez la religion, et n'en faites pas un sujet de division.” Ce à quoi tu appelles les associateurs leur parait énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent. »
(S3v3) « Il (Dieu) a fait descendre sur toi le Livre (Coran) avec la vérité, confirmant les Livres descendus avant lui. Et (parmi eux) Il fit descendre la Thora et l’Évangile »
(S28v52-55) « Ceux (les fidèles authentiques, les pieux) à qui, avant lui (le Coran), Nous avons apporté le Livre (Bible), y croient (au Coran). Et (en effet) quand on le leur récite (le Coran), ils disent : “Nous y croyons. Ceci est bien la vérité émanant de notre Seigneur. Déjà avant son arrivée, nous étions soumis (à Dieu).” Voilà ceux qui recevront deux fois leur récompense pour (leur croyance en ces deux livres et donc pour) leur endurance, pour avoir répondu au mal par le bien, et pour avoir dépensé de ce que Nous leur avons attribué, et quand ils entendent des futilités, ils s'en détournent et disent : “A nous nos actions, et à vous les vôtres. Paix sur vous. Nous ne recherchons pas les ignorants.” »
(S2v136) « Dites : Nous croyons en Dieu, et en ce qu’on nous a révélé, et en ce qu’on a fait descendre vers Abraham et Ismaël et Isaac et Jacob et les tribus, et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus, et en ce qui a été donné aux Prophètes, venant de Leur Seigneur. Nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes soumis. »
(S5v46-48) « Et Nous avons envoyé après eux Jésus, fils de Marie, pour confirmer ce qu’il y avait dans la Thora avant lui. Et Nous lui avons donné l’Évangile, où il y a guide et lumière, pour confirmer ce qu’il y avait dans la Thora avant lui, et un guide et une exhortation pour les pieux. Que les gens de l’Évangile jugent d’après ce qu’Allah y a fait descendre. Ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, ceux là sont les pervers. Et sur toi (Mouhamed) Nous avons fait descendre le Livre avec la vérité pour confirmer le Livre qui était avant lui et pour prévaloir sur lui. Juge donc parmi eux d’après ce qu’Allah a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, loin de la vérité qui t’est venue. A chacun de vous Nous avons assigné une législation et un plan à suivre. Si Allah avait voulu, certes Il aurait fait de vous tous une seule communauté. Mais Il veut vous éprouver en ce qu’Il vous donne (pour vous proposer la valeur suprême qu'est la dignité). Concurrencez donc dans les bonnes œuvres (et en vous y entraidant quand c'est possible). C’est vers Allah qu’est votre retour à tous, alors Il vous informera de ce en quoi vous divergiez. »
(S28v52-55) « Ceux (les fidèles authentiques, les pieux) à qui, avant lui (le Coran), Nous avons apporté le Livre (Bible), y croient (au Coran). Et (en effet) quand on le leur récite (le Coran), ils disent : “Nous y croyons. Ceci est bien la vérité émanant de notre Seigneur. Déjà avant son arrivée, nous étions soumis (à Dieu).” Voilà ceux qui recevront deux fois leur récompense pour (leur croyance en ces deux livres et donc pour) leur endurance, pour avoir répondu au mal par le bien, et pour avoir dépensé de ce que Nous leur avons attribué, et quand ils entendent des futilités, ils s'en détournent et disent : “A nous nos actions, et à vous les vôtres. Paix sur vous. Nous ne recherchons pas les ignorants.” »
(S33v40) « Mouhamed n'a jamais été le père de l'un de vos hommes, mais (il est) le Messager d'Allah et le dernier des Prophètes. Allah est Omniscient. »
(S34v28) « Et Nous ne t’avons envoyé qu’en tant qu’annonciateur et avertisseur pour toute l’humanité. Mais la plupart des gens ne savent pas. »
(S12v111) « Dans leurs récits (des Prophètes) il y a certes une leçon pour les gens doués d'intelligence. Ce (le Coran) n'est point un récit fabriqué (par Mouhamed). C'est au contraire la confirmation de ce qui existait déjà avant lui (la Thora et l'Evangile), un exposé détaillé de toute chose, un guide et une miséricorde (du Seigneur) pour des gens qui croient. »
(ExtS5v3) « J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J'agrée l'Islam (appellation qui ne découle donc pas du nom Mouhamed à la différence du christianisme découlant de Jésus-Christ et le Judaïsme découlant de Juda le quatrième fils du Prophète Jacob, dont car l'islam a en réalité été révélé à tous les Prophètes car signifiant « digne soumission volontaire à Dieu et Sa noble loi) comme religion pour vous(, ce qui prouve que l'ennoblissement maximal de l'humanité est bien désormais proposé). »

Abou Hourayra (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Les Prophètes sont d'un père unique, mais de mères différentes, (c'est-à-dire qu'ils puisent leur science à une source unique mais que les adaptations faites en vue des diverses communautés sont multiples) et leur religion est unique. Nul n'est plus en droit de se réclamer de Jésus fils de Marie que moi-même, car entre lui et moi il n'y a aucun Prophète. »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « De tous les hommes, c'est de Jésus, fils de Marie, que je suis le plus proche aussi bien dans ce monde que dans l’autre. Les Prophètes sont des frères aux mères différentes mais dont la religion est unique. » (Boukhari)
(ExtHadith) Le Prophète (SBDSL) a dit : « Il y aura dans ma communauté trente imposteurs. Chacun prétendra être Prophète. Or c'est moi qui suis le sceau (fin) de la prophétie et il n'y aura pas de Prophètes après moi. »
D'après Abou Hourayra (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Mon exemple par rapport aux Prophètes avant moi est celui d'un homme ayant parfaitement construit et embelli une maison à part l'espace d'une brique dans un coin. Alors les gens qui passaient près de cette maison s'étonnaient de sa beauté et se demandaient : « Pourquoi n'a-t-on pas posé cette brique ? » Je suis cette brique et je suis le dernier des Prophètes. » (Boukhari et Mouslim)

Cependant certains textes révélés à un Prophète précédent pouvaient perdre leur sens quand un nouveau Prophète arrivait, comme lorsque Dieu orienta à l'époque de Moïse (paix sur lui) le peuple d'Israël vers un ennoblissement exemplaire pour les autres peuples par son apprentissage des relations convenables au niveau tribal, puis par son apprentissage des relations convenables au niveau national et donc son passage du tribal vers le national aux temps du roi Saul et des Prophètes-Messagers rois David et son fils Salomon (paix sur eux) même si ce dernier était déjà en partie dans l'universel dont par rapport à la reine de sabbat), puis par son apprentissage des relations convenables au niveau universel et donc son passage du national vers l'universel et ainsi la mondialisation monothéiste avec la venu des Messagers Jésus (paix sur lui) et Mouhamed (SBDSL), et de leur amour pour l'humanité, dont car sinon cela aurait été impossible, comme l'ont prouvé les grecs guerriers tribaux pourtant philosophes et les romains guerriers dominateurs pourtant juristes. En effet pour recommencer à guider l'humanité s'étant à nouveau majoritairement égarée après le déluge lié au Prophète Noé (paix sur lui, qui fut plus régional que mondial selon des savants musulmans afin de n'être une punition que sur la grande majorité du peuple de Noé) et la venue plus tard du Prophète Abraham (paix sur lui), Dieu a décidé de faire du peuple juif son principal représentant prophétique, dont en lui donnant pendant des siècles par un contexte de relations tribales puis nationales généralement violent, des règles dures envers les impies, car à leur époque, ils étaient souvent confrontés à des barbares sans foi ni loi ou des polythéistes guerriers.
Ainsi l'histoire du peuple juif depuis au moins trois millénaires dont un passage hégémonique lors de l'établissement de leur royaume en Judée puisque étant un carrefour mondial principal depuis longtemps est une preuve de la présence divine affichée mondialement depuis ce temps là. Ensuite avec la disparition progressive des peuples barbares par la sagesse exemplaire du royaume d’Israël, de la philosophie grecque ou du commerce, les nobles règles sociales internes du judaïsme purent donc se propager plus facilement au niveau mondial avec la venue des Messagers Jésus puis Mouhamed, surtout que le monde avait été déjà éduqué en grande partie au monothéisme par la connaissance des règles juives s'étend répandue avec le temps :
Bible (Deutéronome 4, 5/6) « Voici, je vous ai enseigné des lois et des ordonnances, comme l’Éternel, mon Dieu, me l'a commandé, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession. Vous les observerez et vous les mettrez en pratique ; car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples, qui entendront parler de toutes ces lois et qui diront : cette grande nation est un peuple absolument sage et intelligent ! »
D'autant plus que par sa excellente sainteté généreuse innée ayant pu incarner et donc accomplir les excellentes règles monothéistes au niveau social, national puis en partie mondial suite à des révélations suffisantes, Jésus est venu rappeler l'esprit authentique du message divin dans ce sens, c'est à dire en interprétant correctement la lettre. Puis Mouhamed en le suivant particulièrement a montré à l'imperfection humaine le moyen d'atteindre cet excellent saint esprit par son excellente imitation de son caractère, de sa moralité et de son comportement, et donc par sa mise en œuvre de l'ennoblissement maximal lié en plus à la possible noblesse constante de l'adoration permanente apportée par les règles monothéistes totalement complétées à travers l'ultime révélation qu'est le Coran, dont au niveau international et cultuel.
Par conséquent l'Ancien-Testament authentique est la lettre de la révélation, le Nouveau-Testament authentique est le rappel de l'esprit de la révélation, et le Coran est la conclusion du sens de la révélation. Par sa tradition ayant mis en exemple la loi coranique complète permettant de parvenir à un saint esprit excellent similaire à celui de Jésus, le Prophète  Mouhamed (SBDSL) est donc venu pour adapter et conclure l'ensemble de la révélation divine depuis nos parents Adam et Eve, afin de proposer à la partie finale de l'humanité un ennoblissement maximal.
De plus cette histoire de la révélation montre bien que la valeur du mérite de la piété par le choix, en particulier vers les nobles caractère, moralité, comportements sociaux utiles et vie religieuse, est moralement supérieure à la valeur de l'élection d'appartenir à un peuple élu, dont pour recevoir les principaux Prophètes comme les juifs ou les arabes. Mais cette valeur supérieure qu'est la piété par choix ne dépasse évidemment pas la valeur suprême qu'est la rang élevé de l'élection des Prophètes, surtout qu'ils ont de toute manière dû être d'abord droit par le choix pour recevoir leur mission, puis être pieux par excellence pour obtenir puis ne pas perdre ce noble grade suprême. Or la valeur supérieure qu'est la piété par choix est confirmée par la valeur inférieure de l'élection de l'excellent sainteté innée du Prophète Jésus (paix sur lui, et des anges) par rapport à l''ennoblissement personnel maximal synonyme aussi de sainteté excellente du Prophète Mouhamed (SBDSL, et de tous ceux qui tendent à le suivre totalement) :
(Évangile de Jésus-Christ selon saint Mathieu, 10:34) : (Jésus a dit) : « N’allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais bien le glaive (du verbe, de la vérité, de la justice, de la noblesse et de la religion contre l'oppression et l'égarement moral, même si pacifiquement comme Jésus et les apôtres). »
(Évangile, Lettre de Saint Paul aux éphésiens 6, 13:17) « Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice, les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix, et ne quittant jamais le bouclier de la foi, qui vous permettra d’éteindre toutes les flèches enflammées du Mauvais. Prenez le casque du salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu. »
Napoléon Bonaparte :« Savez-vous ce que j’admire le plus au monde ? C’est l’impuissance de la force pour organiser quelque chose. Il n’y a que deux puissances dans le monde : le sabre et l’esprit. J’entends par l’esprit les institutions (ou idéologies) civiles et religieuses. À la longue, le sabre est toujours battu par l’esprit. »
Abou Hourayra (SDP) a dit : On a demandé au Messager de Dieu (SBDSL) : « Quel est le plus noble des hommes ? » Il dit : « C’est le plus pieux (à travers ses choix, son caractère, sa moralité et son comportement) d’entre eux (et donc premièrement le Prophète (SBDSL) puisque ayant reçu et mis en pratique au mieux la religion complète même s'il ne le dit pas par pudeur). » On lui dit : « Ce n’est pas à ce sujet que nous t'interrogeons. » Il dit (au niveau de la position par son ascendance la plus hautement honorable puisque étant le seul n'ayant que des Prophètes sur les trois générations le précédant) : « C’est alors Joseph, Prophète de Dieu, fils de Prophète de Dieu (Jacob), lui-même fils de Prophète de Dieu (Isaac), lui-même fils de l’ami intime et Prophète de Dieu (Abraham). » Ils dirent : « Ce n’est pas à ce sujet que nous t’interrogeons. » Il dit : « C’est alors au sujet (de l'élection) des souches des arabes que vous m’interrogez (puisque ayant reçu l'ultime Messager) ? Sachez alors que les meilleurs d’entre eux (quel que soit le niveau social de leurs tribus) dans la période préislamique sont les meilleurs dans l’islam, à condition qu'ils aient appris (leur religion). »
Le Messager d’Allah (SBDSL) a dit : « Ô vous les gens ! Votre Seigneur est unique et votre père est unique : vous descendez tous d’Adam et Adam provient de la terre. Assurément, le plus noble d’entre vous auprès d’Allah est le plus pieux, et l’arabe (malgré son appartenance au dernier peuple élu car ayant reçu l'ultime Messager) n’a pas plus de mérite que le non-arabe sauf s’il se distingue par la piété. »
Selon Abou Hourayra (SDP), le Messager de Dieu (SBDSL) a dit : « Celui qui ne s'élève pas par son propre labeur (sage caractère, noble moralité, utile comportement social, pratique religieuse complète et mode de vie prophétiques atteints), ce ne sont pas ses origines qui vont l'élever. » (Mouslim)
Après avoir annoncé sa mort approchée, le Prophète (SBDSL) dit à Mouad (SBDSL) : « Les gens les plus dignes de moi sont les pieux, quels qu'ils soient et où qu'ils soient. »

(S4v49) « N'as-tu pas vu ceux-là qui se déclarent purs (par l'élection juive ou arabe voire le sectarisme type wahhabite) ? Mais c'est Allah qui purifie qui Il veut (par la piété authentique dont à travers les bonnes règles monothéistes), et ils ne seront point lésés fût-ce d'un brin de noyau de datte. »

Par la nouvelle alliance demandée par Jésus (paix sur lui), les membres du charitable christianisme prédicateur authentique sont donc logiquement devenus le nouvel Israël (nouveau peuple prophétique, surtout qu'à son époque Jésus a dit à son peuple juif devenu trop littéraliste, machinal et peu généreux en particulier les rabbins, qu'il était nécessaire de regagner les faveurs de Dieu, ce que fit une grande partie de ces juifs) incarnant la responsabilité prophétique (au moins au niveau de leur représentation du comportement de Jésus, de leurs transmissions de ses paroles et du suivi de ses règles), surtout puisque Jésus est né juif et que son saint esprit inné est par conséquent l'incarnation et le rappel parfaits du véritable sens principal des lois et enseignements de l’Ancien-Testament. En sachant qu'en ayant affirmé être la loi de Moïse, le saint esprit Jésus s'est donc réclamé de Moïse (et de son descendant David), a facilité sa loi en rappelant son sens spirituel et l'a donc complétée, et que le Prophète (SBDSL) se réclamant de Jésus et concluant le monothéisme authentique en facilitant l'accès à une sainteté similaire comme il sera revu, les musulmans correspondent donc à l'ultime Israël (ultime peuple prophétique) :
(S45v16) « Nous avons effectivement apporté aux Enfants d'Israël le Livre, la sagesse, la prophétie, et leur avons attribué de bonnes choses, et les préférâmes aux autres humains (de leur époque) »
Bible (Deutéronome 4, 5/6) « Voici, je vous ai enseigné des lois et des ordonnances, comme l’Éternel, mon Dieu, me l'a commandé, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession. Vous les observerez et vous les mettrez en pratique ; car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples, qui entendront parler de toutes ces lois et qui diront : cette grande nation est un peuple absolument sage et intelligent ! »
(ExtHadith) Abou Hourayra (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : « Nul n'est plus en droit de se réclamer de Jésus fils de Marie que moi-même (dont car le Prophète Mouhamed facilite donc l'accès à une excellente sainteté similaire à celle de Jésus, et qu'il est le deuxième et dernier prophète universaliste après Jésus, puisque ayant aussi pour mission de transmettre un message divin à toute l'humanité), car entre lui et moi il n'y a aucun Prophète. »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « De tous les hommes, c'est de Jésus, fils de Marie, que je suis le plus proche aussi bien dans ce monde que dans l’autre. Les Prophètes sont des frères aux mères différentes mais dont la religion est unique. » (Boukhari)
D'ailleurs le grand amour de Jésus le Messie pour l'humanité a bien montré à son peuple juif cette nécessité de retour à la profonde vertu authentique, surtout que l'ordre divin  d'orientation vers l'universel dorénavant est aussi un signe de grand amour. Mais certains juifs refusèrent, pérennisèrent injustement le judaïsme et perdirent donc l’authenticité de leur élection par Dieu :
(Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean Matthieu 21:42-44) « Jésus a annoncé sans équivoque la rupture inévitable avec Israël tout entier : Le royaume de Dieu (représentation prophétique) vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits. » « Dans les derniers écrits néotestamentaires, notamment l’Évangile selon Jean, se cristallise cette séparation irréversible entre les disciples du Christ et le peuple juif. Ces deux communautés se dressent désormais comme deux entités étrangères l’une à l’autre, s’excluant mutuellement, au point que le Jésus dépeint par Jean évoque les coutumes juives comme des usages extérieurs à sa propre essence. Ainsi, le quatrième évangile s’érige en un document singulier dans le Nouveau-Testament, où l’Église et la Synagogue se figent comme deux entités fermées, cloisonnées de manière irrévocable. Dans le sillage de ces fondements scripturaires, s’est épanouie la théologie du remplacement chère à Justin Martyr. Cette doctrine, s’inscrivant dans une perspective où le destin divin se métamorphose, prétend que le christianisme s’est substitué au judaïsme selon le dessein de Dieu. Ainsi, le peuple élu d’Israël, jadis choisi par la main divine, se voit déchu de son statut et frappé de malédiction pour avoir rejeté et condamné le Sauveur, Jésus-Christ. Les faveurs et les promesses divines accordées à l’« ancien Israël » sont transmises à l’Église chrétienne (catholique puis orthodoxe, première, deuxième et troisième Rome), laquelle devient le « nouvel Israël » au sens spirituel, c'est à dire le « nouveau peuple (prophète) de Dieu ». Il s’ensuit que le judaïsme, désormais, ne détient qu’une valeur relative, subordonnée au christianisme, considéré comme sa préfiguration imparfaite et son témoin dépassé. Dans les premières heures du christianisme, une transformation s’est ainsi opérée, métamorphosant une secte juive en une foi majoritairement peuplée de gentils, détachés émotionnellement et culturellement de leurs racines hébraïques. Il n’est donc pas surprenant de voir surgir au 2e siècle des figures éminentes désireuses de prendre leur distance par rapport au judaïsme. Il serait ainsi audacieux de prétendre que le christianisme est, par son essence, porté à embrasser les idées sionistes et d’affirmer qu’un chrétien sioniste est un croyant qui s’assume tandis que son coreligionnaire non sioniste serait un disciple tiède. Ces considérations négligent les profondes différences qui séparent le judaïsme du christianisme. Avant d’être de nature théologique, ces différences furent sociologiques, politiques et étroitement liées à des événements historiques. En adoptant très tôt le supersessionisme et une lecture allégorique, le christianisme proposa une interprétation nouvelle des promesses de rétablissement d’Israël contenues dans l’Ancien-Testament. Cette exégèse chrétienne a ainsi entravé le sionisme plutôt que de le favoriser, contrairement aux théologiens protestants qui se rendirent coupables de cette erreur dès les premiers jours de la Réforme. Il est à noter que l’attrait du protestantisme pour les idéaux sionistes s’explique, entre autres, par un mouvement opposé à celui observé au sein de l’Église catholique. Alors que cette dernière a vu les chrétiens judaïsants être progressivement marginalisés, les protestants ont renoué des liens avec les rabbins et les kabbalistes. Alors que le pré-millénarisme de l’Église primitive avait sombré dans l’oubli au profit de l’amillénarisme, les théologiens de la Réforme ont délaissé l’interprétation allégorique pour une lecture littérale des Écritures. Si nous voulions compléter ce constat historique avec des considérations eschatologiques, nous pourrions voir dans les croyances amillénaristes de l’Église catholique le fameux « katechon (d'abord incarné en Europe post-christique par la France fille aînée de l’Église, puis par l'empire romain germanique, puis actuellement par la Russie orthodoxe) » dont parle l’apôtre Paul dans la seconde épître aux Thessaloniciens, et désignant une mystérieuse entité dont la mission, consiste à faire obstacle à l’émergence de « l’apostasie » et à « l’homme du péché, le fils de la perdition »
(et ainsi aussi dans un autre sens précédent ce dernier au monde de la décadence et donc de Satan) : (Bible Thessaloniciens 2, 3/4) « Que personne ne vous séduise d'aucune manière ; car il faut que l'apostasie soit (en grande partie) arrivée auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition, l'adversaire (l'Antichrist) qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu (grande référence à Israël, Jérusalem et le troisième temple), se proclamant lui-même Dieu. » En sachant que tout humain retenant par sa noblesse morale tel un katechon les forces de l’antéchrist devant finir par amener Jésus à réapparaître est important même si cela paraît aussi paradoxal que la lutte contre l'apostasie, car même si çà finit par la mort voire par une bataille perdue momentanément, cela entretient la vérité, l'exemplarité, le bon chemin et donc la guerre sainte par et pour lesquels Jésus reviendra triompher en réalité. D'ailleurs l'amplification des forces obscures jusqu'à l’avènement de l'antéchrist permet de révéler, confirmer ou préciser de nombreuses nobles morales dont par ceux luttant contre. Selon cette perspective du katechon, la foi universelle prônée par Jésus et Paul, qui englobe tous les êtres, s’oppose tel un katechon à l’interprétation tribale et suprémaciste du judaïsme et de son mashiah, l'antichrist, l'antéchrist, le faux-messie. Tandis que la Synagogue s’érige indignement en un tribalisme foncièrement ethnocentrique et racial, l’Église se dresse dignement comme une foi universelle accueillant quiconque, indépendamment de ses origines ethniques ou culturelles légitimement, puisque l'humanité descend d'Adam et Eve. Là où la première maintient son assise dans l’observance rigide de la Loi judaïque et dans une identité ethnico-religieuse, la seconde s’ouvre aux âmes de toute provenance et célèbre la foi en Jésus-Christ. En vérité, le divin évangile d’amour, porté par le Christ et son disciple Paul, se dresse tel un remède salvateur face à l’âpre haine, inscrite au cœur même du tribalisme et du suprémacisme juif. Il s'agissait donc bien d'une nécessaire Nouvelle Alliance supérieurement noble venant parachever l’ancienne, conformément à la lecture que font les chrétiens de l’Ancien-Testament, de sa promesse et de l'inévitable progression morale de la révélation comme il a été vu. D’où la fameuse phrase « je ne suis pas venu abolir la loi mais l’accomplir » prononcée par le Christ et validant à la fois l’élection du peuple juif, comme avant-garde spirituelle, mais le déchargeant de cette élection, puisque par une logique progression et donc extension morales dorénavant partagée par tous et donc universelle dans une nouvelle alliance selon Alain Soral. D'ailleurs selon Irénée de Lyon (130-202), un champion de la foi chrétienne a dit : « Si Dieu a promis à Abraham l’héritage de la terre et s’il ne l’a pas reçu durant tout son séjour ici-bas, il faut qu’il le reçoive avec sa postérité, c’est-à-dire avec ceux qui craignent Dieu et croient en lui jusqu'à la résurrection des justes. Or sa postérité, c’est l’Église (mais en réalité plus l'islam), qui par le Seigneur Jésus (et ses suiveurs authentiques dont les véritables musulmans), reçoit la filiation adoptive à l’égard d’Abraham, (surtout qu'Israël est une nation toute petite et que les juifs du monde sont peu nombreux). » Cette conviction selon laquelle l’Église avait supplanté l’ancien Israël fut ultérieurement désignée sous le terme de « théologie de la substitution » ou de supersessionnisme. » (Fernand le Béréen)
Après le christianisation de l'empire romain, cette nouvelle alliance fut principalement incarnée au niveau géopolitique par la création de la France lors du baptême du roi Clovis, devenu ainsi premier vicaire français du Christ en 496 par l’Évêque Saint Rémi de Reims. La France fut donc le premier grand État aux racines chrétiennes, et donc la fille aînée (des nations) de l’Église, mais aussi beaucoup car ce pays porta largement et longtemps le catholicisme.
D'ailleurs il existe d'ailleurs des lieux saints en Israël qui sont étroitement liés à la France, en raison de l'histoire et des possessions françaises en Terre sainte. Ce domaine national français en Terre sainte correspond à un ensemble de propriétés appartenant à la France, situées principalement à Jérusalem. Ces lieux sont importants pour les chrétiens, ont une valeur historique et représentent une présence française historique et religieuse en Terre sainte. Parmi ces lieux, on trouve :
-L’Église Sainte-Anne : Une église romane du XIIe siècle, offerte à la France au XIXe siècle.
-L'Eléona : Un site situé sur le mont des Oliviers, comprenant la grotte du Pater.
-Le Tombeau des Rois : Un site archéologique important.
-Le Monastère d'Abou Gosh : une ancienne commanderie hospitalière.
Ce nouveau peuple prophète que sont devenus les chrétiens a donc été particulièrement lié à la création de cette France catholique avec le Christ comme clé de voûte de l’État lors de ce sacre de Clovis. Suite à ce roi Clovis s'étant converti au catholicisme lors d'une victoire militaire miraculeuse après un serment sincère et son génie politique voyant que c'était le catholicisme qui avait permis à l'empire romain de se maintenir presque deux siècles de plus à sa fin, il s'agit donc bien d'une alliance chrétienne ancestrale éternelle de reconnaissance et de service envers Dieu ayant fondée la France et étant ainsi essentielle pour sa pérennisation. Cette consécration religieuse de Clovis et de la France fut d'ailleurs confirmée via le miracle de la colombe apportant une sainte ampoule (fiole contenant une huile sacrée servant à enduire le rois lors de leur prise de pouvoir dont pour les valider, les honorer et les adoucir) ce jour de son baptême en tant que premier roi chrétien français. Il s'agit là d'un signe visible provenant du ciel et confirmant donc l'élection de Dieu du peuple français comme un de Ses représentants principaux dont à travers la race royale des francs. C'est donc par ce sacre que Dieu a validé la bonne orientation chrétienne de cette nation, et par l'acte de foi du peuple s'étant engagé auprès du roi Clovis et de la France que l'unité politique nationale française et ainsi la nation française ont été complètement créées.
Mais la révolution de 1789 ayant amené les Droits de l'Homme en effaçant les droits de Dieu a donc enlevé le bénédiction sur la France, tant qu'elle ne retrouve pas son rôle originel honorant le suivi de Jésus et la grandeur de Dieu, même si au début ces Droits de l'Homme ont été en grande grande partie une laïcisation de l’Évangile. En sachant qu'il y a eu une inversion entre les élites devenues catholiques après le peuple suite au baptême de Clovis et le peuple devenant progressivement dégénéré après les élites de la gauche bourgeoise suite à la révolution de 1789. C'est d'ailleurs la révolution qui a aboli la séparation entre le pouvoir temporel et celui spirituel dans ce sens. D'ailleurs si des situations se réalisent dans le destin divin comme la révolution française de 1789, c'est aussi pour pousser les pieux à analyser au mieux cela et pour en sortir le peuple ainsi que le pays vers le haut, si nécessaire en préservant certaines caractéristiques de cette révolution comme les droits de l'homme fondamentaux que sont la liberté, la propriété, la sûreté et la lutte contre l'oppression. Il faut noter que la chrétienté a souvent été divisée par les pouvoir du roi (pouvoir temporel) et du pape (pouvoir spirituel), alors que le calife en islam est dans un sens d'unification importante à la fois pape et roi comme le Prophète David. Ce qui est entièrement légitime quand on est pieusement sage et connaisseur des règles religieuses, et c'est pourquoi l'excellent saint esprit inné de Jésus incarnera parfaitement la position de calife quand il reviendra.
Puis pour conclure les messages divins tout en redonnant de la foi au monde et en relançant la prédication abandonnée généralement avec le temps par les juifs et les chrétiens à cause du matérialisme ou/et de l'oubli inhérent à la nature humaine, le Coran fut révélé et les musulmans devinrent donc le dernier peuple prophète, en particulier par leur pratique de ce monothéisme totalement complété qu'est l'islam synonyme de rappels fréquents de Dieu, de tradition prophétique entière, d'adoration permanente et donc de spiritualité maximale :
(S3v187) « Allah prit, de ceux auxquels (juifs et chrétiens) le Livre (Bible) était donné, cet engagement : “Exposez-le, certes, aux gens et ne le cachez pas.” Mais ils (beaucoup) l'ont jeté derrière leur dos (s'en sont détournés) et l'ont vendu à vil prix (échangé contre une vie matérialiste). Quel mauvais commerce ils ont fait ! »
Surtout que le Coran et le Prophète (SBDSL) affirmant clairement que la prédication fait partie de la religion complète et donc de l'ennoblissement humain suprême, l'islam se propagea rapidement. Ce qui réactiva inévitablement la pieuse propagation des valeurs monothéistes à travers le monde par les chrétiens, dans une forme de concurrence et de défense de leurs intérêts par rapport aux musulmans, prévue par le subtil stratagème divin bienveillant, puisque pour entretenir la prédication monothéiste par cette concurrence.
Cet ultime peuple prophète que sont les musulmans, comme le peuple prophète précédent que sont les chrétiens, étaient donc désormais uniquement basés noblement sur la sublime fraternité religieuse universelle, puisque légitimement liée à Adam et Eve, et pas sur celle tribale, même si l’Évangile a été révélé aux juifs devenus chrétiens et le Coran aux arabes. De plus, ces deux derniers peuples prophète n'étaient pas uniquement prophète au niveau de leur nation guidant les autres, car chaque individu pouvait désormais officiellement prêcher l'humanité alors qu'avant c'était officieux.
Depuis Adam et Eve et la fin des premières générations s'étant de plus en plus égarées jusqu'à Noé, puis jusqu'à Abraham, puis jusqu'à lui, et l'humanité s'étant répandue jusqu'à créer des nations, Moïse fut donc le premier prophète chef politique puisque du premier peuple prophète (plus dans le sens de peuple prêtre selon certains juifs dont pour promouvoir exemplairement le monothéisme) que furent les tribus (réunies, peuple) d'Israël (dont suite à la mise en esclavage de certaines en Égypte). Mais ces dernières manquèrent souvent à cette tâche par leurs péchés et leur égarement, puis certaines en furent définitivement écartées après leur rejet de Jésus l'excellent saint esprit Messie, alors que ce peuple juif avait pourtant entièrement été aussi désigné prophète pour l'accueillir. Et c'est pourquoi dont aussi après la dernière destruction du Temple juif à Jérusalem en 70 de notre ère comme punition envers les juifs n'ayant pas suivi Jésus, le judaïsme n'existe normalement plus, surtout que l’Ancien-Testament doit se lire à travers l'esprit du Nouveau-Testament.
Mais l'impie car interdite reconstruction d’Israël (dont le royaume et le premier temple fut détruit d'abord par les Assyriens en -587, avant que celui de Juda ne soit détruit par les babyloniens en -570, puis que Jérusalem et le deuxième temple ne soient détruits par les romains en 70) et du troisième temple est centrale dans la fausse eschatologie juive. En effet la destruction du second Temple fut l’ultime traumatisme qui eut un effet durable sur le messianisme : quand les Juifs comprirent qu’ils avaient perdu définitivement leur existence nationale après les troubles qui suivirent la destruction du second Temple et la fin de l’ancien monde, certains eurent une conscience vive mais erronée du caractère mystérieux du message messianique, et d'autres devinrent consciemment pervers voire sataniques, afin de reconquérir Jérusalem et reconstruire le troisième temple.
Or ce premier peuple prophète qu'est celui juif, ayant reçu en premier les lois divines inter-tribales puis donc nationales, complétant celles tribales révélées progressivement au Prophète Noé et ensuite au Prophète Abraham et à ses descendants Prophètes, a donc quand même participé à répandre les valeurs monothéistes dans le monde pendant un certain temps.
Par conséquent, toute cette histoire prophétique a logiquement préparé la venue de l'excellent saint esprit inné de Jésus incarnant la perfection exemplaire du monothéisme authentique révélé progressivement depuis Adam et Eve, c'est dire d'abord au niveau conjugal, puis familial, puis social, puis tribal, puis inter-tribal, puis national mais aussi international, puisque l'excellent saint esprit inné Jésus est venu d'abord en tant que roi juif, puis en tant que roi de l'humanité car logiquement dans une noblesse suprême. Dans ce sens, l'excellent saint esprit inné Jésus a évidemment rappelé que la meilleure noblesse authentique de caractère, de moralité, de comportement et de piété était la valeur suprême à atteindre par l'humanité, c'est à dire en étant toujours juste quand c'est nécessaire et miséricordieux dès que c'est possible. Puis cet excellent saint esprit inné Jésus a logiquement orienté la loi religieuse vers l'universalisme, dont en annonçant la venue de l'ultime Messager Mouhamed, puisque ce dernier allait montrer et donc faciliter à la nature imparfaite humaine comment parvenir à un excellent saint esprit similaire, dont à travers l'adoration permanente de la tradition prophétique islamique complète et donc l'ennoblissement maximal, pour lesquels Jésus reviendra logiquement afin d'épanouir sa sainteté totalement, comme il sera revu :
(Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean, 14:26) : « Le Paraclet (Mouhamed et donc le Coran voire aussi le Mahdi), l'Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, vous communiquera toute chose (dont le sens clair de l'humanité, de la religion et de la sainteté), et vous ferra ressouvenir de tout ce que je vous ai dit (vous rappellera la sainteté et vous facilitera l'accès à une sainteté similaire à la mienne). »
Commentaire : (S12v111) « Dans leurs récits (des Prophètes) il y a certes une leçon pour les gens doués d'intelligence. Ce (le Coran) n'est point un récit fabriqué (par Mouhamed). C'est au contraire la confirmation de ce qui existait déjà avant lui (la Thora et l’Évangile), un exposé détaillé de toute chose, un guide et une miséricorde (du Seigneur) pour des gens qui croient. »
(ExtHadith) Abou Hourayra (SDP) rapporte ces propos de l'Envoyé de Dieu (SBDSL) : «
Nul n'est plus en droit de se réclamer de Jésus fils de Marie que moi-même (dont car le Prophète Mouhamed facilite donc l'accès à une excellente sainteté similaire à celle de Jésus, et qu'il est le deuxième et dernier prophète universaliste après Jésus, puisque ayant aussi pour mission de transmettre un message divin à toute l'humanité), car entre lui et moi il n'y a aucun Prophète. »
Le Prophète (SBDSL) a dit : « De tous les hommes, c'est de Jésus, fils de Marie, que je suis le plus proche aussi bien dans ce monde que dans l’autre. Les Prophètes sont des frères aux mères différentes mais dont la religion est unique. » (Boukhari)
D'après Abou Hourayra (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : « Mon exemple par rapport aux Prophètes avant moi est celui d'un homme ayant parfaitement construit et embelli une maison à part l'espace d'une brique dans un coin. Alors les gens qui passaient près de cette maison s'étonnaient de sa beauté et se demandaient : « Pourquoi n'a-t-on pas posé cette brique ? » Je suis cette brique et je suis le dernier des Prophètes. » (Boukhari et Mouslim)

Le Prophète (SBDSL) a dit : « Dieu ne perdra pas une communauté dont je suis le fondateur et Jésus le terme. »

En effet chez les juifs, même le Décalogue (les Dix Commandements Divins) est seulement envers les proches et n'a donc pas un sens universaliste pour eux. Alors que quand Jésus y fait souvent référence, il tend d'abord à souligner le principe fondamental liant tous ces préceptes et qui n’est autre que l’amour universel : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même. » (Luc 10, 27) Jésus rappelle ainsi que l’amour pour Dieu et pour son prochain doit être l’élément structurant nos relations, et que logiquement c'est son excellent saint esprit inné qui nous guide au mieux entre humains et (donc) vers Dieu.
Les Dix Commandements, ou les Dix Paroles (ce qui a donc donné son autre nom « le Décalogue »), représentent un code éthique délivré par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï, c'est à dire un résumé de Sa Loi synonyme de règles religieuses principales facilitées et de renouvellement de Son alliance avec les humains. Ce code éthique, composé donc de dix recommandations résumant ainsi aussi le chapitre biblique (Exode 20) à ce sujet, invite les humains à être libérés de l’esclavage et à vivre en paix. Ces instructions sont d’ordre moral ainsi que religieux et servent à nous guider afin de devenir des êtres excellemment épanouis. Les Dix Commandements, que l’on peut aussi appeler « Loi (principale) de Dieu », sont divisés en deux catégories.
La relation entre Dieu et les humains (1-4) : « Tu n’auras pas d’autres dieux en face de Moi. » ; « Tu ne fabriqueras pas d'idole. » ; « Tu n’invoqueras pas en vain le nom du Seigneur ton Dieu pour le mal. » ; « Tu observeras le jour du sabbat pour le sanctifier. »
La relation des humains entre eux (5-10) : « Tu honoreras ton père et ta mère. » ; « Tu ne tueras pas. » ; « Tu ne commettras pas d'adultère. » ; « Tu ne voleras pas. » ; « Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain. » ; « Tu ne désireras rien de ce qui est à ton prochain. »
C'est à dire que par un niveau de lois sociales révélées désormais complet au niveau tribal et national représentant une forme de sainteté sociale, mais ne correspondant pas totalement à l'adoration permanente révélée dans l'islam ni ne comprenant toutes les règles pour la gestion entre états, Jésus devait quand même venir pour incarner cette sainteté sociale, permettre le passage du tribalisme vers l'universalisme d'abord à travers l'humain et suite à sa prêche envers son peuple, et incarner le statut d'humain saint excellent à expliquer et atteindre par le Prophète (SBDSL), avant de revenir pour donc épanouir totalement sa sainteté à travers l'islam, puisque étant le code monothéiste entièrement complété.
Ce passage de Jésus à l'universalisme se vit beaucoup par rapport à la gestion des crimes, puisque cela fit noblement passer la responsabilité collective à la responsabilité individuelle afin de terminer les interminables guerres tribales. C'est à dire que la responsabilité individuelle remplaça sagement les relations claniques du monde primitif, car dans ce dernier un membre du clan de l'offensé pouvait venger ce dernier dont en s'attaquant au coupable ou à un membre de son clan. On peut donc dire que pour maintenir l'ordre civil ou régional, la justice institutionnelle est précieusement devenue la vengeance nationale d’État pour le citoyen, et que si cette justice institutionnelle n'est pas préservée ou est corrompue, cela amène à la guerre civile ou régionale, pouvant diviser une nation ou opposer des nations, dans une forme donc de retour au monde primitif.
Or parmi les raisons de ce passage du tribalisme à l'universalisme était aussi qu'une grande partie de l'humanité connaissait désormais plus ou moins les lois monothéistes, à travers le royaume juif en Judée placé donc dans un carrefour géographique principal du monde, et à travers le mélange des cultures de l'empire romain auquel il était rattaché en tant que royaume client, c'est à dire en tant qu’État autonome mais vassal économiquement, politiquement ou militairement. C'est dans ce sens que selon Jésus le Messie, on peut donner par l'intention à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.
Mais le passage du tribalisme juif à l'universalisme christique eut lieu également beaucoup pour éviter que le tribalisme juif universaliste, lié à son illégitime croyance en l'idole guerrière unique Yahvé, usurpatrice de Dieu et donc satanique (comme il sera revu et selon ce qui suit), s'occupant seulement d'eux, devienne une ethnie s'estimant faussement supérieure par l'élection divine en comparaison du reste de l'humanité, et recherchant dont militairement, égoïstement et perversement la domination sur le reste de l'humanité, comme certains juifs et sectes juives le prétendent ou le sous-entendent actuellement.
C'est à dire que l'orientation de Jésus vers l'universalisme signifie aussi la sortie du tribalisme et du nationalisme juifs souvent violents, guerriers, dominateurs ou sanglants et donc sauvages même légitimement au nom de la justice, pour plus aller vers la douceur, la paix, l'ouverture, le partage, la générosité ou le pardon et donc vers la miséricorde dont au nom de la piété, c'est à dire désormais légitimement au nom de la meilleure noblesse synonyme de gestion excellente des qualités spirituelles au niveau caractériel et moral :
(Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 16:8) « Et quand il (le saint esprit Jésus) sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice et le jugement (en montrant donc l'égarement voire la méconnaissance juifs concernant une grande partie du bien et du mal à son époque, dont prioritairement le sens qualitativement spirituel universellement des révélations, et non littéraliste, matérialiste, territorial, nationaliste ni dominateur) »
Les valeurs monothéistes étant donc plus ou moins connu mondialement à cette époque, cela a également permis à l'amour universel du Christ de venir rappeler aux juifs de ne pas oublier ce principe essentiel de la foi, et donc de chercher à unir voire guider les peuples en pratiquant les lois monothéistes aussi avec eux dont à travers le commerce équitable et l'interdiction de l'usure.
Il faut noter que le saint esprit excellent de Jésus est aussi venu accomplir les révélations faites depuis le Mosaïsme comme Mouhamed est venu accomplir la révélation de Jésus, et que cette sublime idéologie d’amour universel provenant légitimement du Christ, car l'humanité descend d'Adam et Eve, a en grande partie inversée la haine raciale juive, jusqu'à développer l'union forte d'une grande partie de l'humanité pour la la première dans l’histoire du monde : ça n’existe pas non plus chez les Hindous, ni chez les Chinois, ni chez les Japonais, et ça s’est propagé dans le monde principalement par l’empire romain suite à la conversion de l'empereur Constantin au christianisme. En notant que l'empire romain a ainsi pris puis porté le christianisme seulement par l'exemple et les martyrs et donc pas par la guerre.
Puis le Coran fut révélé en tant qu'ultime message divin pour conclure le monothéisme, dont donc par la possibilité d'adoration permanente en particulier à travers le développement du culte tout au long de la journée et par les dernières règles géopolitiques en particulier désormais dans le rapport entre musulmans, chrétiens, juifs, athées et polythéistes. Ce qui permit ainsi désormais à chaque être humain de pouvoir tendre au véritable ennoblissement maximal synonyme de sainteté excellente.
D'ailleurs selon certaines explications juives, plus grand est le nombre de mitzvot (prescriptions religieuses) réalisées (révélées), plus le monde se rapproche de la perfection et donc de l'ennoblissement maximal. De cette idée acceptée par tous les juifs y compris par les juifs karaïtes, le mysticisme juif a développé l'idée que le tikkoun olam (un des concepts centraux du livre juif de la Splendeur « Zohar » et plus encore de l'école lourianique de la Kabbale croyant en la nécessité de réparation et/ou d'amélioration du monde) déclencherait ou accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie (ou plutôt son retour pour les chrétiens et musulmans), et celles du monde final correspondant à l’Éden terrestre complété. C'est en partie dans ce sens d'interprétation du tikkoun olam que le marxisme et ainsi le communisme athées (voire sournoisement sionistes ou sataniques) pensaient revenir à l’Éden originel où il n'y avait pas loi de propriété ni de règles religieuses, tout en l'améliorant avec la dictature inédite du prolétariat mondial, alors qu'il s'agit d'un erroné voire pervers éden terrestre complété et donc d'un erroné messianisme.
Car selon les révélations du christianisme et de l'islam, cette réparation du monde se fait en réalité logiquement d'abord par rapport à la sainte innocence perdue par les parents de l'humanité Adam et Eve, et donc d'abord au niveau spirituel dont à travers le saint esprit de Jésus, de Mouhamed et du Mahdi, c'est à dire par l'excellent code moral religieux de plus en plus approfondi et facilité. Ce qui correspond d'ailleurs à un des sens possibles du tikkoun olam.
D'ailleurs par opposition mais aussi similitude au maxisme et au communisme, la couverture de la revue Time de novembre 2020 a présenté le « Great Reset » sous la forme d’une planète Terre en réparation, l’ensemble étant constitué d’un échafaudage et de plusieurs ouvriers s’activant à cet effet. En effet cette couverture de Time montre que les ambitions mondialistes s’affichent désormais au grand jour selon leur interprétation aussi erronée voire perverse du tikkoun olam : le monde doit être réparé selon des normes bien précises. Sauf que ces dernières favorisent la ploutocratie, le progressisme wokiste, le laïcisme, le lgbtisme et le sionisme dans une forme aussi d'Eden sans loi de propriété ni de règles religieuses, tout en l'améliorant avec la dictature connue de l'oligarchie mondiale, alors qu'il s'agit aussi d'un erroné voire pervers éden terrestre complété et donc d'un erroné messianisme. En effet comme dans le mondialisme occidental, la progressiste lutte folle et donc impie des perverses élites contre l'intelligence basée sur la réalité que tout existe d'abord par essence que par choix, cherche donc à maléfiquement transcender les limites des nobles valeurs monothéistes établies par rapport à la nature des êtres et de toute chose pour faire advenir de faux temps messianiques, puisque étant gravement ou plutôt perversement et diaboliquement basés sur la croyance qu'ils seront modernes dont à travers l’idéologie libérale laïciste, c'est à dire comme aussi selon la marxisme messianique, sans lois monothéistes voire morales ou naturelles et donc sans lois comme dans le jardin d'Eden originel. Ce qui est stupide ou naïf voire satanique, surtout vu le niveau de développement de la science dont religieuse, philosophique et scientifique. Ainsi la dictature légale peut être le contraire de l'actuelle tyrannie anomique (sans lois : Lgbtsime, usure, wokisme), qui provient pour beaucoup du scientisme ayant basculé vers l'athéisme, dont ayant déshumanisé l'homme et mécanisé le vivant.
Car le tikkoun olam correspond donc en réalité à l'Eden terrestre retrouvé et complété à travers l'ensemble des enseignements religieux révélés depuis Adam et Eve jusqu'à Jésus, Mouhamed et le Mahdi, dont en ayant le droit de propriété et en étant équitable entre pauvres et riches.
Or ce sera précédé de la fin des temps, dont de la noble révélation morale complétée et conclue, et donc de la nécessaire utilité du mauvais chemin, à travers des épreuves difficiles apportant diverses compréhensions essentielles, guidant une grande partie de l'humanité mécontente et forçant l'apparition de certaines institutions importantes, dont principalement le retour du califat bien guidé ultime synonyme d’Éden complété.
C'est à dire que la Terre accouchera dans la douleur la pureté de l’Éden complété, comme la femme accouche dans la douleur la pureté du nourrisson innocent, ou plutôt que la Terre atteindra dans la douleur l'excellence du califat bien guidé ultime, comme l'enfant atteint dans la douleur l'excellence des dents d'adultes.
Dans ce sens, le verset suivant de la Bible affirmant qu'Ismaël, le père des arabes et par conséquent des musulmans, sera multiplié grandement, est clairement accompli par Mouhamed (SBDSL), car après avoir précisé être l'ultime Prophète et ainsi celui à suivre prioritairement, il est actuellement suivi par des milliards de personnes qui composeront probablement ce califat bien guidé ultime. En effet l'islam qualifié de monothéisme pur par Dieu dans le Coran est actuellement la religion ayant le plus d'adeptes au monde, ce qui correspond au cinquième voire au quart de la population mondiale :
Bible (Genèse, 17:19/20) « Dieu dit (à Abraham) : Certainement Sarah, ta femme, t'enfantera un fils ; et tu l'appelleras du nom d'Isaac (père des juifs). J'établirai mon alliance avec lui comme une alliance perpétuelle pour sa postérité après lui (comme le prouve les nombreux Prophètes envoyés chez eux en particulier jusqu'à leur dernier le Messie Jésus et donc leur rôle de peuple prophète). A l'égard d'Ismaël, je t'ai exaucé. Voici, Je le bénirai, Je le rendrai fécond, et Je le multiplierai à l'infini ; il engendrera douze princes, et Je ferai de lui (à partir de lui, les arabes) une grande nation (empire de l'islam suite à la venue de l'ultime Prophète Mouhamed). »
Ainsi pour synthétiser rapidement la propagation du monothéisme, le peuple prophète juif était d'abord nécessaire par rapport aux relations tribales puis à celles nationales, dont en devant répondre à ses intérêts vitaux au service de Dieu face à certains peuples infidèles souvent barbares. Puis suite à la compréhension progressive des excellentes valeurs monothéistes par le reste de l'humanité, les règles internes au judaïsme purent lui être proposées à travers la sublime spiritualité universaliste des Prophètes Jésus et Mouhamed. C'est ce qui fut d'ailleurs accepté par une grande partie de l'humanité suite à des actions plus ou moins pacifiques, jusqu'à triompher hégémoniquement au niveau mondial avant les diverses révolutions laïques ou/et athées. Et c'est ce qui se produira à nouveau avec l'apparition du Mahdi et le retour de Jésus (paix sur eux), comme en islam il est reconnu unanimement que Zul-Qarnayn puis le Prophète Salomon (et son pieux royaume des descendants d'Israël) ont fait connaître voire souvent répandu les excellentes valeurs monothéistes dans le monde entier, même si parfois voire souvent, elles ne furent pas longtemps préservées ou furent finalement mélangées à d'autres croyances égarées.
Or suite donc au rappel de l'esprit de la lettre des textes sacrés juifs et à la mise à jour universaliste du monothéisme par Jésus, de nombreux juifs (principalement les lévites devenus ensuite les pharisiens et les talmudistes) refusèrent perversement son message, surtout car ils sentirent logiquement que l’universalisme chrétien allait dilué l'élection juive et ses réseaux jusqu'à leur disparition, quoique ses réseaux auraient pu devenir chrétiens. En effet pour établir ou confirmer leur dignité et atteindre une noblesse supérieure, ils auraient dû s'en servir pour propager le message de Jésus, qui entre parenthèse n'a pas eu besoin d'eux ni de leurs réseaux pour s'étendre grandement sur terre, surtout que beaucoup d'autres juifs se firent baptisés.
En sachant que c'est donc en tendant vers l'universalisme et non le communautarisme que les juifs sont bénis, c'est en étant charitables et non cupides que les chrétiens sont bénis, et c'est en étant unis et non divisés que les musulmans sont bénis :
(Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 10, 7-9) : Jésus leur dit encore : « En vérité, en vérité, je vous le dis, je (mon message et ma moralité) suis la porte des brebis (dont les personnes faibles tels les orphelins, les handicapés et le pauvres, et les personnes fortes tels les doux croyants, soumis à Dieu et pieux, ou/et donc les musulmans puisque le Prophète Mouhamed s'est réclamé de suivre Jésus). Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands (pharisiens, impies) ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira (de l'autre côté lors du Jugement Dernier), et il trouvera des pâturages (bénédictions et Paradis céleste)... »
Commentaire : Ce passage de l’Évangile ne s'adresse pas aux faibles ni aux tribus isolées (sauvages) n'ayant pas reçu le message christique et qui auront donc une épreuve de foi au Créateur unique lors de leur mort, ni aux croyants sincère en Dieu l'unique (dont en Son Jugement Dernier, Son Paradis et Son Enfer), ni à ceux tendant vers les règles monothéistes authentiques par eux-mêmes, mais s'adresse principalement aux pharisiens, aux sionistes, aux mécréants, aux polythéistes, aux oligarques pervers, aux dirigeants corrompus, ou aux satanistes puisque s'étant détourné perversement de Jésus. En effet tout n'est que mensonge, erreur, injustice, imposture et mystification dans le projet sioniste que de nombreux infidèles suivent plus ou moins inconsciemment : faux sémites (khazars provenant de l'Europe de l'Est appelés aussi ashkénazes ne méritant pas d'être associés aux descendants sémites d'hébreux ni donc victimairement au terme antisémitisme), faux juifs car la plupart des vrais de la Palestine sont devenus chrétiens ou musulmans sémites, fausses voire perverses interprétations des textes sacrés juifs, utilisation sournoise de ces falsifications, illégitime but de domination sur les nations par la finance usurière et sur les peuples par la perverse laïcité affaiblissant la pieuse noblesse, fausse terre promise à la fin des temps sur les terres palestiniennes musulmanes au milieu de pays musulmans arabes ne voulant pas de déstabilisation, interdiction de retour des juifs en terre sainte sous forme d’État selon l'Ancien-Testament (dont donc le Talmud), l’Évangile (venu arrêté le judaïsme) et le Coran, faux-messie surnommé en plus « le trompeur » et « le charlatan » par le Prophète Mouhamed possiblement donc même par rapport à la réalité finale de son plan.